Chapitre 23

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JE SUIS DESOLEE POUR TOUT CE TEMPS SANS NOUVELLES !

J ETAIS EN VIE MAIS AVEC DIVERS SOUCIS ET CHANGEMENTS DANS MA VIE QUI ONT FAIT QUE LA FATIGUE ETC ONT RUINE LE PEU D INSPIRATION QUE J AVAIS. CA REVIENT PETIT A PETIT ET L UN DES COMMENTAIRES RECUT M A DEFINITVEMENT REDONNE DU COURAGE. JE COMPTE DONC BIEN MENER DE FRONT COSPLAY ETUDE ET ECRITURE !! ET ON Y CROIT ! ( non, je ne hurle pas, promis.... je suis juste tellement paumée dans ce  nouveau design que je ne sais pas comment mettre en gras. )



La nuit nous était favorable et la traversée du pays elfique se déroulait sans encombre. En fait, la seule encombre est la constatation d'un fait dérangeant. Les garnisons se remplissaient rapidement et la fabrication d'arme augmentait considérablement, comme nous avions pu le constater en en volant.

-Ils se préparent à une guerre.

Je secoue la tête, agacée de constater que ma mère n'avait décidemment rien retenu du passé.

-Non. Une invasion.

La tête du Kindred se tourne si brusquement vers moi que j'entends sa nuque craquer, comme si on la lui brisait. En silence, je me rappelais pourquoi le manque de garde m'avait surpris. Les gardes sont supprimés pour causes de réquisition d'intérêt racial, en vue d'être entraînés pour devenir soldat. Si nous avions voyagé de jour, nous aurions pu remarquer que toutes les échoppes tenus par notre peuple étaient fermés. Pour cause d'entraînement à la défense civile.

A la fois séances de défoulement et de recrutement, cet entraînement était instauré en temps de conflit afin de maintenir à son paroxysme l'effort de guerre, de recruter de nouveau guerrier, peut être trop jeune lors du dernier recrutement, et de permettre aux rares soldats non intégrés de rejoindre la « protection » de l'honneur elfe. Et puisqu'aucune déclaration de guerre n'avait atteint nos oreilles, seul restait l'idée de l'invasion. Et vu le nombre de délégation envoyée vers la cité sans nom, il n'était pas difficile de comprendre que ce nombre important de délégations étaient en réalité autant d'équipe d'éclaireurs.

-Cette cité a donc tant d'importance, marmonne Darlo.

-J'ignore pourquoi, confirmais je. Mais oui. Continuons. La cité à venir est un des points névralgiques de l'armement. Il y a donc fort à parier que les effectifs militaires soient importants. Nous devrions la contourner.

-Pas vu l'état de ton bras.

Je grogne, pour le principe. Car ce bras me faisait un mal de chien. Nous avions essuyé une averse importante, nous confrontant ainsi à des élémentaires d'eau et autres Naiades temporaires. Et les Naiades ne sont pas d'agréables créatures frivoles, contrairement aux légendes humaines.

-Je ne vais tout de même pas réclamé des soins....

-Pourquoi non ?

-Tu es fou.

Il ricane, à mi voix avant de se diriger vers l'entrée de la ville de Bringereïn.

-Nous réclamons asile.

Il n'a pas à hurler. Il a été entendu et une véritable émeute se déclenche quand la porte s'ouvre sur lui, alors que je reste en arrière, prête à fuir.

-Ma compagne est blessée. Nous réclamons aide et assistance, au nom de la perfection elfe.

J'étouffe une exclamation furieuse. Idiot ! Nous exposer ainsi est une pure folie !

-Volontiers, si on garde la tête.

-Elle est de la famille royale Kindred. Touchez la et c'est la guerre que vous aurez.

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