K E L L A N

Chapitre 7

Malia

Je n'ai rien compris à ce qu'il venait de se passer, et tout ce que j'exigeais c'était des explications de Kellan.

Il m'embarque jusqu'à notre bâtiment, puis me fit monter dans l'ascenseur, pour bloquer l'accès.

- Qu'est-ce que tu...

- Chut, pas maintenant j'essaie de faire mon taff. Dit-il en me coupant.

- C'était quoi cette mise en scène ? Depuis quand je suis ta chérie hein ? Je pensais que...

- Warner tu parle trop, ferme ta jolie bouche tu veux. Sinon je me ferais un plaisir de le faire à ta place. Dit-il en faisant danser son regard sur mes lèvres, un sourire en coin.

Après quelques minutes de silence, qui parurent une éternité, il prit enfin la parole :

- Ce mec là, il nous as menti, je l'ai aperçu à plusieurs reprise hier via les caméras de surveillance. Je ne sais pas ce qu'il comptait faire de toi, mais une chose est sûr, si je n'étais pas arriver, tu ne serais peut-être pas vivante. Dit-il d'un ton plus sérieux.

- Hadrian, il a demander à voir mes papiers.. Répondis-je l'air paniquer.

Je suis en total flippe, non mais vous ne comprenez pas, ce mec qui avait l'allure d'un psychopathe à eu accès à des informations confidentiel me concernant.

- Tu lui a montrer ? Me questionna t-il l'air impatient.

- Oui. Dis-je d'une petite voix.

- Merde ! Répondit-il en serrant les poings.

- Qu'est-ce qu'on va faire maintenant ? Dis-je en le regardant.

- On va devoir changer de planque.

- Quoi ? Mais je..

- Tu quoi Warner ? T'as merder, et je vais devoir assurer tes arrières.
Me coupa t-il d'une voix ferme.

- Je ne t'ai rien demandée d'abord. Dis-je d'un ton ferme à mon tour.

Pour qui il se prend, est-ce que je lui ai demandée une quelconque aide ?

- Tu vas l'a fermer maintenant et me laisser réfléchir à une planque, crois pas que j'en ai quelque chose à faire de toi, j'ai une mission à remplir, et si ils découvrent que je suis là je risque de ne pas achever ce que j'ai commencer. Alors si tu continue à aller à l'encontre de ce que je fais, je te jure que tu vas finir encastrer dans cet ascenseur. Me répondit-il d'un ton sec.

Aïe.

Je crois qu'il n'a pas digérer le coup des clés volé.

C'est blessant, mais je m'attendais à quoi sérieusement ?

Pour toute réponse, je ferme ma bouche et je décide de ne plus parler.

- On va sortir de cet ascenseur, et on va prendre ma bécane. Dit-il en appuyant sur les boutons.