Chapitre 9. Le premier duel

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                                                                             Joe Alywn as Joffrey Baratheon


Arrive au bas de la tour du poste de garde, où elle avait attaché Nymeria, elle entendit des bruits de pas se rapprocher. Pensant qu'il s'agissait de septa Mordane elle vit volte-face se heurtant de plein fouet à une Cassandre aux yeux remplis de bienveillance.

 «Est-ce que vous allez bien ?» dit-elle de sa voix soyeuse.

De stupeur, Arya se confondit en excuser « Oui, Madame» lui répondit-elle « Je suis désolé de mon comportement » avant d'exécuter une révérence maladroite.

« Tu n'as pas à t'excuser » ricana-t-elle « tes travaux d'aiguille ne pouvaient pas être moins pire que les miennes. »

Arya était dubitative de cette déclaration, tout comme sa sœur Sansa. Cassandre avait tout. Elle savait danser, peintre, jouer de la harpe et du carillon. Elle écrivait de merveilleux poèmes. Elle savait s'habiller. Et elle était une beauté, dont les hommes se damner. 

De la reine sa mère, elle tenait des yeux verts émeraudes et une silhouette élancée et gracieuse. Tandis que du roi, elle tenait les longs cheveux noir de jais. Elle n'a jamais été considérée comme une beauté. Les gènes Tully lui avaient fait défaut. Brune et terne, elle avait une figure longue et solennelle que Sansa et Jeyne ne manquaient jamais de nommer "ganache". En ce qui concerne ses talents, seule l'équitation, fut la seule activité où elle l'emportait sur sa sœur, ça... et l'économie. Sansa n'avait guère le sens des comptes. Si le prince Joffrey voulait l'épouser, il a tout intérêt à prendre un bon intendant.

 « Souhaitez - vous que je vous raccompagne à votre chambre » demanda Cassandre

« Mère doit déjà être au courant, et maintenant elle doit m'atteindre dans ma chambre ».

«Où comptez-vous aller ?»

«Les garçons s'entraînaient dans la cour, je voudrais aller les regarder s'entraîner » répondit Arya avant de s'arrêter pour regarder d'un air penaud Cassandre «Voudriez-vous venir, ma Dame ?»

Cassandra secoua et sourit «Bien-sûr !»

Elles finissent par arriver, hors d'haleine dû à une course précipitée pour y trouver Jon Snow suivant les assauts avec tant d'attention qui nota leurs arrivent qu'ait l'émoi de son loup blanc qui s'avança d'un bas circonspect pour taquiner prudemment Arya avant de se rallonger.

-« Ma dame ! » trébuchant loin d'elle pour pouvoir s'inclinerdevant.« Je suis désolé, je ne vous ai pas vu. » « Puis-je vousaider ?» demanda-t-il en lui tendant la main pour l'aider às'installer.

C'étaitle tour des benjamins, Bran et Tommen entrechoquaient leurs lattesmatelassées sous l'œil vigilant de ser Rodrick Cassel.Encourageaient par les voix d'une poignée de gentilshommes de lacour, celle de Robb dominait les autres. Aux côtes de celui- ci, setenait toujours Théon Greyjoy, la bouche tordue par un sourireméprisant, accompagne par les autres jeunes hommes de Winterfell.

- « Pourquoi n'étais-tu pas avec les autres?» demanda-t-elle augarçon en détournant son regard des combats .

«Je suppose qu'infliger la présence de bâtards à de noble de sang est un acte indigne ?»

The Winter's TaleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant