A l'endroit des moments miséreux mollis de mes marottes, j'ai fait glisser mes globes oculaires occultés de transes analgésiques, dans les mutations des maximes malaxées de médisances et l'aisance à couler entre deux purgatoires ; mon lent démantèlement est en pleine révision.
Ma maintenance monoprix fait l'impasse de l'impéritie, ma conscience corrodée prise en filature par une goton gavée de mes desseins gachés et de mes cellules gliales glaireuses, ma défaite fébrile longuement temporaire dans laquelle j'ai gobé la létalité de mes latences, et les scripts de ma frénésie de rêves de rétorsion, frôlant la pénitence face aux complaintes bien légitimes des fayots au gosier bien rempli. Leur componction nuit à l'essence sacrificielle de leurs déflagrations.
Les entretiens trafiqués pour chances de déchéance maximum organisent les élevages des cultures carnassières et leurs garra rufa furieux confondent mon épiderme avec de l'endocarpe, côtoyant des calamiteux cônes de moxibustion en application directe sur ma pie-mère de prolétaire. J'en ai les nerfs à vif !
Je ne me nourris plus que de mon désir de démolition massif puisque un puits putrescible a remplacé le lieu de mes digestions, depuis que les mares marcescentes de mon marasme interne exfoliant goulûment ma gorge et remplaçant mes mots m'ont emmené me faire mixer les méninges chez les cafards captieux. Bilan de l'auscultation : splénectomie déterminée par tombola pour venaison festive à l'an nouveau, mes résidus nucléés rebaptisés "collations corticales" aux couleurs cloacales gelées pour le dessert n'étant plus bonnes à vendre avec leurs dagues dendritiques, pas plus que mon noeud thoracique expert en balistique comme garage à émoi. On épinglera mes boyaux pour cartographier mes épreuves et on enroulera les dindes indigestes du dernier Noël des familles immaculées avec mes oligodendrocytes. Mon calvaire mécanique et mes répétitions ont eu raison de ma tripaille trépassant des rages qui me rongent la panse, et mes propres rumeurs informes niellent en offenses informelles ma fabrique d'amertume. Au moins mon chyme mijotera encore dans mes manières moratoires pour refaire les camouflets en promotion dont raffolent mes minauderies de nabot navré de fonctionner. Finalement, l'alluvion de mon individu voulant laver sa machinerie ridicule n'est plus que le lavis lancinant de mes gémissements renouvelés. Autant se refaire une beauté en se badigeonnant de ses sanies pour éviter d'agoniser dans l'atonie.
Plus besoin de crucifixion par un tiers aléatoire pour se repiquer l'encéphale, les anciennes lacérations larvaires prendront la relève dans les lignées lobotomisées, nodules de l'univers, où l'on doit simplement rester fonctionnel.
Cette année, je laboure toujours mes décombres pour les malheurs à venir.
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Thème de départ : la douleur
Contrainte : caser le mot "splénectomie"
Lexique :
Garra rufa : Autrement appelé poisson-docteur comme me le rappelle Wikipédia, espèce de poissons connus pour leur action exfoliante, utilisé comme traitement de certaines maladies de peau ou en pédicure.
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Les cycles des courtils
PoetryPuisque j'ai l'habitude de souvent fermenter de la gadoue, et que l'on plante de tout dans les jardins cervicaux, autant recycler ses patchwork de ruclons. En clair, la partie cachée de ma marmaille, sans forme, sans raison, à l'orée de l'éclaircie...