Chapitre 10

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Au bout de bien 30 minutes je fut malheureusement décédé, d'ailleurs Annie aussi.

Certains se lève par ennuis quand ils sont éliminés pour venir vagabonder dans la maison de Nami.

Soudain Annie avait disparu, je me tourne dans tout les sens sans la voir, merde j'étais sensé la surveiller !

Zoro : en haut.

En il regarde je compris qu'elle était monté et c'est alors que je remercie Zoro en auchant la tête puis escalade les escaliers silencieusement.

La première porte qui se trouvait à ma gauche était la salle de bain je crois.

Le haut était composé d'un seul grand couloirs dans lequel il y avait plusieurs porte.

La lumière de celle de la salle de bain dépassait du dessous.

Toc toc toc

La porte était entrouverte et c'est alors que j'aperçois Annie appuyée sur le rebord du lavabo à avaler ses médicaments.

Moi : Annie ?

Elle se retourne brusquement mais fût soulagé quand elle me vue.

Annie : qu'est-ce que tu fais là ?

Moi : je suis sensé de surveiller en permanence ordre du médecin !

Annie : je pense pas rester encore longtemps, je suis un peu fatigué.

Moi : oh ! Tu veux rentrer ?

Soudain elle se laissa tomber dans mes bras, volontairement, ses bras m'enlace .

Moi : Annie ?...

Je rougis fortement sans savoir quoi faire, l'air me paraît si lourd d'un coup !

Je l'a prends aussi dans mes bras en hésitant.

Annie : je veux rester juste encore un peu Sanji...

Sa voix était douce, je respire fort.

Elle relève la tête, on était si proche.

Ses deux yeux jongle dans les miens, comme ça je repense à hier soir.

Annie : Sanji...

Elle s'approche un peu plus, tout deux savons mieux ce qu'on veut mais, je ne peux pas...

Moi : je ... Je peux pas... me le permettre...

Mes goue était en feux et mes yeux essayait de trouver un autre point fixe.

Annie : pourtant hier soir tu te l'est permis.

Sa phrase me mis des frissons dans le dos, j'ai très peur, était t-elle réveillé ?

Moi : tu... tu étais... réveillé... ?!

Annie : oui.

Son sourire me trompais, me manipulait t-elle ?

Moi : tu... essai pas de jouer avec moi comme les autres fois !

J'étais rouge de honte.

Annie : je ... Je ne jouait pas Sanji !

Son regard se décompose.

Annie : c'est...c'est mes derniers jours, je veux les vivre Sanji !

Moi : dit pas ça ! Tu vas vivre j'en suis sûr !

Les larmes lui montait au yeux quand soudain ma main passe derrière sa tête et la rapproche de moi.

Soudain je me rappelle de la phrase de Zoro: " le temps est cour ".

Je ne sais pas ce qui m'a pris mais dans un même élan je ferme les yeux, mes lèvres sur les siennes.

Le calme règne désormais, le baiser fût cour mais tellement de pression dans ma cage thoracique, mon coeur bat à cent à l'heure.

Nous nous séparons, je n'ose même pas la regarder dans les yeux, pathétique que je suis.

Annie : Sanji, je t'aime !

Elle avait sorti ses mots comme personne n'aurait eût le courage de les sortir.

C'est drôle, j'avais l'impression de devenir quelqu'un d'autre et à la fois d'avoir fait un conneries...

Mais j'étais trop amoureux pour m'en rendre compte.

Moi : moi aussi, je t'aime Annie !

J'étais sûr de se que je disais tout comme ce que je ressentais.

Dans le silence nous nous regardons, il faisait nuit, seul dans la salle de bain je la pris dans mes bras pour venir l'embrasser mais plus délicatement, plus tendrement.

. . .

[ PDV de Annie ]

Au bout de quelques minutes nous descendirent les marche, je croisais le regard de Robin que avait remarquée que ma main était enlacés dans celle de Sanji.

Elle me sourit, j'auche la tête pour lui dire un au revoir qu'elle compris un fois que nous nous approchions de la porte.

Il y avait bien trop de monde pour aller dire au revoir à Nami, j'en est chargé Robin.

Dehors l'air était frais, collé contre Sanji nous marchions dans les rue faiblement éclairé.

Arrivé à la maison je me mis à m'assoir sur la première marche des escaliers pour me reposer en enlevant mes chaussures.

Sanji : tu as faim ce soir ?

Moi : nan merci, mais si tu veux tu peux manger...

Sanji : moi non plus je n'ai pas fin.

Je lui sourie mais j'étais très fatigué.

Sanji : tu veux de l'aide pour monter ?

Effectivement, une fois debout je ne tenait quasiment plus sur les jambes, elles terminaient sur place.

Moi : je veux bien...

Soudain sa main passa entre mes genoux et l'autre derrière mon dos, il venait de me porter puis il escalada les marches des escaliers.

Une fois arrivé en haut il me déposa dans mon lit.

Avant qu'il s'en aille j'eus à peine le temps de rattraper sa manche.

Il faisait très sombre mais lui c'était arrêter et retourné vers moi.

Moi : Sanji...

Je venais sûrement de faire une grosse bêtise mais mes jours était compté.

Sanji : oui ?

Avec timidité j'osa déposer ma question à voix basse.

Moi : j'aimerais que tu restes avec moi...

Il me fit les grand yeux avant de me sourit aimablement.

Sanji : si tu veux princesse.

Je lui avais déjà fait une place sous les draps, il était froid mais quand celui-ci c'était glisser contre moi je sentit son souffle chaud qui me réchauffait déjà.

Il me pris dans ses bras et sans un mot je tentais de m'endormir.

Ce soir je venais de laisser mon coeur au main de celui que j'aimais.

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