La Meute D'Artensia

Chapitre cinq : Quinn

Bon sang de bois ! Il est encore plus beau que ce que je m'étais imaginé. Je le regarde avec beaucoup d'admiration dans les yeux.

J'aime particulièrement son visage aux traits angéliques. Il est tout simplement magnifique. Il a tout ce que je désire chez un homme.

Ses paupières sont toujours fermées laissant ses longs cils blonds reposés sur le haut de ses pommettes.

Je m'octroi quelques minutes pour le comptemplé. Une beauté pareille, on prend le temps de l'admirer. On ne lui jette pas qu'un simple regard avant de tout simplement passer a autre chose.

Je passe de ses cheveux blonds en bataille a son petit nez en trompette pour ensuite regarder ses belles lèvres roses légèrement pulpeuses pour ensuite terminé sur sa mâchoire en coeur.

Mes yeux continuent leur inspection plus bas. Les muscles de son torse sont légèrement dessiné.

J'ai envie de le toucher, mais j'ai peur de l'effrayer alors, je m'abstiens de le faire.

Il est beaucoup plus petit que moi et mes vêtements seront beaucoup trop grand pour lui.

Je vais devoir le laisser quelques minutes seul pour que je puise aller demander à Dante des vêtements a prêté.

- je vais te laisser quelques minutes tout seul. Ne t'inquiètes pas, je reviens toute de suite.

Il hoche la tête et je tourne les talons et me dirige vers la porte d'entrée.

Une fois dehors, je ne perds pas de temps. Je me dirige directement vers le chalet de Dante. Il a intérêt à être la celui-là sinon je vais lui faire la peau.

Dante, tu es chez toi ?

Oui. Tu as besoin de quelque chose ?

Oui, j'aurais besoin que tu me prêtes des vêtements s'il te plaît.

Mais, tu ne rentrera jamais dedans.

Ce n'est pas pour moi abrutis,  mais pour mon compagnon. Dépêche-toi. Je suis chez toi dans moins de dix secondes.

Considère que c'est déjà fait

J'ouvre la porte sans prendre le temps de m'annoncer. Quelques secondes plus tard,  Dante apparaît avec une pile de vêtement devant moi.

Il me les tends et je les prends.

- Merci, tu me sauve la vie. On te les rendra une fois qu'on aura été lui acheté de nouveau vêtement.

- Ça ne presse pas. Ça me fait plaisir d'aider le compagnon de l'alpha.

Je hoche la tête avant de tourner les talons et sortir.

Je marche en direction de mon chalet avant de m'arreter devant la porte.

La fée des loups a trouvé le compagnon parfait. Il a vraiment tout ce que j'aime chez un homme.

Bon, je vais devoir lui apprendre beaucoup de chose, mais je suis certain qu'ensemble,  nous y arriverons.

C'est drôle, mais depuis que nous l'avons trouvé dans la forêt de l'alpha, je sens mon loup qui est apaisé pour la toute première depuis.... très longtemps.

Je peux l'entendre ronronner dans ma poitrine et je sais qu'a partir d'aujourd'hui,  tous les trois, nous vivrons des jours heureux.