l'histoire d'une jeune fille maltraités par ses parents qui mène une vie mélancolique depuis sa naissance arrivée au profond de la vie délivré par sa cousine une histoire vraie écrit par *ANGIE MERAT*
Certaines histoires avec morale sont comme des peintures qui dressent le portrait des vertus et des faiblesses humaines.
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Étant depuis toujours quelqu'un de très Secret,je ne l'ai encore jamais raconté le plus difficile, c'est de se souvenir de l'ordre exact de mes événements que ma cousine EUGIE et mon amie VONISE m'aideront peut-être a surmonter. Cela été difficile mais a l'aide de mes confidences ça marche ✌️.
Cela a commencé dès l'âge de 11 ans, suite après une discussion de mes parents. je suis allée vivre chez ma grande sœur avec mon petit frère
J'ai sans doute débarqué au mauvais moment, au mauvais endroit. Et puis je n'étais pas spécialement une enfant facile à vivre, pas très communicative, pas vraiment dans l'affect.
D'abord c'était des cris, pour des histoires de pull mal rangé. Au début ce sont les meubles qui ont pris ; si quelque chose n'était pas rangé je rentrais et retrouvais ma chambre entière au milieu de la pièce, les meubles vidés.
Et puis c'est devenu physique ma sœur me tenait les poignets très fort, me secouait et me postillonnait dessus à grosses gouttes. J'ai subi des coups de chaussures, de ceinture, et des violences psychologiques : insultes, dénigrement constant, humiliation... Le pire, c'était les moqueries.
C'est graduellement devenu de plus en plus violent, tandis que j'étais pré-ado et de plus en plus renfermée sur moi-même. Rapidement ça a pris la forme de claques, et surtout d'insultes.
Puisque je venais d'un milieu atroce et que je n'avais aucune trace visible sur le corps, personne n'a jamais compris ce qu'il se passait, pourquoi je détestais les vacances, pourquoi je préférais mettre du temps à rentrer chez moi à pied plutôt que de prendre le bus.
Je n'avais de toute façon pas d'ami·e à qui me confier, et même maintenant, quand j'en parle à mes proches, ils ont du mal à accepter l'idée.
Je n'ai moi-même compris que la situation n'était pas normale qu'au lycée, en voyant comment ça se passait chez les autres et en comprenant qu'il y avait un monde sans toute cette violence... ANGIE
