𝑪𝑯𝑨𝑷𝑰𝑻𝑹𝑬 𝑿𝑰 : 𝑳𝒂 𝒅𝒆𝒓𝒏𝒊𝒆̀𝒓𝒆 𝒋𝒐𝒖𝒓𝒏𝒆́𝒆

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Five tourne son regard vers moi, brillant et pour la première fois il arborait un sourire sincère.

Qu'est-ce que j'aime ce mec ! Oui, je l'avoue, j'aime ce mec, plus que n'importe quoi au monde.

  — C'est vrai, tu le penses vraiment ?! Dit Five presque en criant.

  — Bah non, c'était une blague, dis-je ironiquement, bien sûr idiot, tu me fais vriller dès que tu rentres dans la même pièce que moi, donc oui je le pense vraiment.

Il rigole légèrement et colle son front au mien, on se regarde mutuellement, nos corps noués ensemble, nos souffles mélangés, toujours collés aux murs. Il passe ses mains sur mes hanches et me rapproche de lui.

Et soudain, ses lèvres touchent les miennes, des milliards de papillons se réveillèrent dans mon ventre, je souris intérieurement et réponds à celui-ci, nos deux âmes séparées maintenant liées.

Si on m'avait dit il y a de cela un mois que je finirais avec lui, j'aurais sûrement explosé de rire.

Mais maintenant tout ça me semble logique...

Nous nous séparons après certainement une minute, la meilleure minute de toute ma vie.

  — Tu embrasses mieux que ce que je pensais, dit-il.

  — Quoi ?!

 Je pris un air vexé en me décalant de lui, comment ça il pensait ?!

Je pris l'initiative de sortir de la chambre, même si j'avais envie de dormir, je devais prendre l'air avant de retourner avec Five.

FIVE

Est-ce que je l'avais vraiment vexée ? Pourquoi était-elle partie ? Je décide d'ouvrir les fenêtres pour aérer la chambre, malgré le froid d'hiver, cela me fit un bien fou, j'avais besoin de me détendre, qu'étions-nous à présent ? Est-ce qu'elle voudrait porter mes enfants ?

T'emballe pas trop hein.

Ouais, mais après...

Calme-toi, vraiment.

Je referme ma fenêtre après inhalée mon bol d'air. Je m'allonge sur mon lit en regardant le plafond, je n'arrive pas à réfléchir, en même temps comment peux-tu réfléchir après cette journée.

Je finis par m'endormir bêtement en regardant le plafond blanc neige.

SANA

Après mon ascension dehors, je décide de retourner voir Five dans sa chambre, mais quand je franchis le pas de la porte, je vois Five, seulement, il dort tranquillement.

Il devait être épuisé pour s'endormir en moins de quinze minutes.
Je souris face à cette vue, et lâche presque un petit rire.

Je pars dans la salle de bain et me change pour mettre un truc confortable, en même temps, je ne vais pas dormir en pyjama, ça parait logique.

Après ce choix de tenue, je me brosse minutieusement les dents, mais pendant ce cheminement, un coup se fit entendre à la porte.

  — Je peux entrer ? Demande une voix rocailleuse derrière celle-ci.

  — Umh umh, dis-je en signe d'approbation.

Je l'entends rire légèrement, je l'avais vraiment réveillé ? Oups. Il rentre, je pense l'avoir réveiller, il tire une tête qui me donne envie de cracher l'entièreté de mon dentifrice.

𝙅𝙚 𝙩'𝙖𝙞𝙢𝙚 𝙖̀ 𝙚𝙣 𝙘𝙧𝙚𝙫𝙚𝙧 | 𝘍𝘪𝘷𝘦 𝘏𝘢𝘳𝘨𝘳𝘦𝘦𝘷𝘦𝘴Où les histoires vivent. Découvrez maintenant