𝐃𝐑𝐄𝐀𝐌 [𝐓𝐨𝐤𝐲𝐨 𝐑𝐞𝐯𝐞𝐧𝐠𝐞𝐫𝐬]

𝐌𝐈𝐊𝐄𝐘 𝐗 𝐑𝐄𝐀𝐃𝐄𝐑

𝐏𝐑𝐎𝐋𝐎𝐆𝐔𝐄

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Je sens mon corps faiblir fasse au mot que j'entend.. Enfin est ce que j'entends encore les mots qui fuses dans l'air rempli de vagues..? Je n'avais pas prévue une si longue nuit, une dernière au côté de celui qui m'a tout donné

Même la mort...

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𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄

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𝐧𝐮𝐢𝐭 𝐚 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐭𝐞, 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐫𝐞𝐧𝐝𝐮𝐞.
𝐧𝐮𝐢𝐭 𝐫𝐞𝐧𝐝𝐮𝐞 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐟𝐢𝐧, 𝐧𝐞 𝐬𝐞𝐫𝐚 𝐩𝐚𝐬 𝐮𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐞.

𝐓𝐖 :
𝐜𝐨𝐧𝐭𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐜𝐞̀𝐧𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐫𝐚𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥𝐚 𝐦𝐨𝐫𝐭. 𝐌𝐞𝐫𝐜𝐢 𝐝𝐞 𝐧𝐞 𝐩𝐚𝐬 𝐥𝐢𝐫𝐞 𝐬𝐢 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐞̂𝐭𝐞𝐬 𝐬𝐞𝐧𝐬𝐢𝐛𝐥𝐞 𝐚 𝐜𝐞𝐥𝐚.
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J'étais à la base une femme de bureau tout ce qu'il y avait de plus normal, entre dossiers et réunions, rien n'était mouvementé. On me sourit, faussement comme d'habitude, pourquoi ? Je suis une femme seule avec un chat, mais aucun mari, pas d'amour. C'est un choix que même mes parents ne cherchent pas à comprendre. Mais l'amour ai une barrière à tant de choses, et une fois brisé rien n'ai pire que ça. Cette sensation.

Pourtant, un jour, pile un jour de neige. En décembre alors que j'étais seule pour rentrer chez moi après une journée horrible, j'ai sue que je n'étais pas seule à marcher dans se froid hivernale de fin de soirée.

Sous la première neige, je l'ai vue.

Ce gars que je n'avais pas vu depuis la primaire. Un petit garçon blond tout petit qui m'avait aider à récupérer mes cahiers qui étaient tombé de mon cartable, j'avais 5-6 ans. On habitaient le même quartier à l'époque, il habitait le dojo d'un vieux monsieur assez gentil. Les sano c'était une famille vraiment gentille, mais se petit garçon qui m'avait aidé se jour la m'avait marqué. Il était enjoué et a la limite de l'hyper activité de se que je me souviens. Je ne sais pas pourquoi mais ça tête ma directement fait tilter quand je l'ai vue, même si il est différent. Je l'ai reconnue se petit gars avec qui je jouais et qui m'a aider se jours là.

Je me suis approché même si il est accompagné de plusieurs hommes bien vêtue.

“—Excuse moi...

—Hun ? T'es qui toi ?
demande un homme au cheveux rose.

—Sano ?”

Le petit gars que j'avais identifié comme le petit garçon que j'ai côtoier si souvent étant petite c'est retourné. Il m'a toiser moi et ma tête semi caché par ma grosse écharpe crème, son regard comprend que je ne suis pas inconnu dans sa mémoire

“

—Tu m'es pas inconnu toi.

—Tu ne serais pas le petit garçon qui habitait dans le quartier où était le dojo Sano ?.. Un petit garçons blond.. En primaire..