Chapitre 12

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Mon réveil sonne et me tire de mon sommeil. Toujours à moitié endormi je sens ma tête reposé sur une chose dur. En la relevant je tombe sur Mick endormi. Ma tête sur sont torse recouvert de sont t-shirt.
Je m'extirpe doucement de sont lit pour retourner dans ma chambre et me changer le plus discrètement possible pour ne pas le réveiller. Aujourd'hui c'est jours de course , je dois être en forme, et en plus je veut faire la meilleure course possible pour Mick. Je me rapproche de Mick et lui fait un bisou sur le front.

Mick : tu veux pas m'attendre. Je peut pas piloter mais je vais regarder.

Léa : il faut que je me change. Si tu veux ont ce retrouve dans le Hall on ira ensemble au circuit ?

Mick : ok à toute suite

Sur c'est dernier mots je part de sa chambre pour allez vers la mienne à toute vitesse. Il est hors de question qu'une personne me voit sortir en douce d'une chambre qui n'es pas la mienne. Qui plus est celle d'un confrère pilote d'une autre équipe. Honnêtement je ne comprends pas ce qui c'est passer hier. J'ai l'impression que l'ont a agit comme un couple. Enfin plutôt ont n'est proche même beaucoup. Toujours un mots gentils, un câlin, des blagues, des petits bisous sur la joue. Mais nous sommes que des amis. Enfin je crois.
Arrivé dans ma chambre je prend une douche en vitesse éclaire.Me change en tenu Alpine. Je me fais des tresses coller pour être tranquille avec mes cheveux boucler et ne pas les avoir dans le visage. Je repars vers l'ascenseur qui me conduit au hall où je voit Mick assis m'attendant sur une chaise à une table avec deux assiettes devant lui.
Plus je m'approche, plus je remarque que enfaite il à été chercher mon petit déjeuner et le sien. Un bol avec des morceaux de fraises, melon et pastèque avec un café froid avec du lait et une omelette à la dinde.

Léa : comment tu connais mon petit déjeuner préféré ?

Mick : ho salut. Juste parce que je te connais. Et je me suis dit que vue que tu as perdu du temps ce matin à retourner dans ta chambre je me devais de te préparer le petit déjeuner.

Léa : merci c'est gentil fallait pas Mick

Je le vois me regarder dans les yeux il veut me dire une chose je le vois dans ses yeux. Il sont remplie de questions et d'interrogations. Je prend mon courage à deux mains et lui demande.

Mick : tu te rappelle de ce qui sais passer quand tu m'as appeler quand, hum, quand tu as fais ta crise d'angoisse ?

Léa : Mick j'ai pas envie dans parler

Mick : un moment faudrait peut-être en parler et sa fait du bien.

Léa : MICK ! Stop

Mick : mais pourquoi tu veux pas en parler. Je pourrais t'aider

Léa : mais je ne veut pas tu comprends !

Mick : pourquoi t'es aussi borner Gasly !

Léa : moi je suis borné ont n'en parle de toi ! La nuit dernière tu as parler dans la nuit tu parler de ton père tu n'arrêtais pas de bouger. Et ce matin en me levant j'ai rien dit. ALORS NE VIENS PAS ME DIRE QUE JE PARLE DE RIEN ! T'ES PAS LE MIEUX PLACER POUR PARLER !

sur c'est dernière parole je me lève et je suis partie comme une furie. En arrivant devant mon physio il comprend que c'est pas le moment de m'embêter. Mais qu'est-ce qui ma pris de lui parler de sont père.
Mais en même temps il n'avait pas à revenir sur ma nuit agitée. Ont n'a tous nos faiblesses dans la vie. Je n'ai pas envie dans parler c'est tout. Il n'avais pas à insister aussi. Je comprends pas ce qui nous à pris.

Laurent : Gasly ont commence à se consacrer pour la course. Et arrête de penser à ce que tu penses peut importe ce que sais.

Léa : je suis borner Laurent ?

Laurent : quoi euh bas je ne sais pas pourquoi ?

Léa : je dois allez voir Pierre.

Je n'entends pas les protestations de mon physio et part chercher mon frère dans sont écuries. En arrivant je le vois au téléphone avec katerina. Pour le coup je ne réfléchis pas et interviens sans me poser de questions.

Léa : es que je suis borner?

Pierre : oui

Katerina : non

Léa : un non sérieusement ?

Pierre : je sais pas pourquoi tu me fais chier Léa là !

Léa : ah ok sa fait plaisir je me casse !

Je part encore plus énervé que à mon entrer dans sa driver room. Je comprends pas ce qui leurs arrives tous là à être arrivé énervé pour un rien. Je suis pas énervé pour un rien moi. Mick à abusé dans c'est paroles ce matin, mais moi aussi j'ai abuser mais il à commencé.

En sortant digne d'un tsunamis de cette infâme endroits je tombe ou plutôt je percuter plutôt fortement une personne. En relevant mes yeux je tombe sur ceux de Lando. Il me demande si tout vas bien et je réponds avec le plus grand des faux sourire que je n'ai jamais réussi à faire de ma vie. Il y crû et heureusement.
Je suis retourné dans ma loge pour vraiment me préparer cette fois. Je commence ma préparation comme il faut mais toujours en colère contre mon frère et Mick. Après le tour de chauffe je sort de ma voiture et commence à parler avec les ingénieurs pour la course. Puis 5 minutes avant le départ je me place à l'avant de ma monoplace et m'accroupis devant cette dernière touche le sol de ma main droite et effectue mon signe de croix pour finir de pointer mon doigt vers le ciel.
Verstappen, voilà comment tout le monde et les journalistes ont commenté ma course.J'ai conduit comme Max. Avec une immense agressivité, je n'ai pas vraiment réussi à faire là part des chose pendant la course.J'ai commencé p5 et est fini P4 au pied du podium je suis extrêmement frustré et en même temps heureuse c'est mon meilleur résultat. Mais je ne veux plus jamais conduire comme sa. Je me suis fait des frayeurs, surtout quand j'ai doublé Pierre d'une manière assez dangereuse mais l'enquête de la FIA n'a rien donner.
Après la course,je suis partie vers les medias puis retourner à mon hôtel toute seule. Je n'ai pas attendue mes amis et mon frère. Sa change de d'habitude. Arrivé devant ma porte je fais demie tours pour allez sur le toit de l'hôtel pour évacuer. Chez moi j'avais mon coins dans la forêt mais la j'ai que le ciel et sont couchés de soleil qui est d'ailleurs magnifique avec c'est ton orange rose. A peine sur le toit que je lâche prise et cris à m'en décoller mes poumons puis respire un grand coup et m'appuis sur la barrière de sécurité.

Mick : il faut qu'on parle Léa

Un amour à toute vitesse-Co écriture Où les histoires vivent. Découvrez maintenant