Chapitre 10

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Mon monde viens de s'écrouler en 1 minute et 02 secondes. Je revois en boucle la scène. Mon ingénieur arrivant vers moi en courant pour me dire que les qualifications sont suspendues puisqu'il y a un accident.

Ingénieur : Léa, tu m'entends ? Tu as compris ce que j'ai dit ?

Je suis paralysée, incapable de bouger je repense à l'accident d'Antoine et de Jules. Je ne veut pas encore perdre un amis. Je pourrais pas le supporter encore une fois.

Ingénieur : Léa, c'est Mick qui a eu un accident. Il vas être conduit à l'hôpital.

Je plonge mes yeux dans les siens. Ils sont remplie de larmes je voit extrêmement flous. Je n'arrive pas à sortir de ma paralysie. Au bout d'un certain moment qui me parais une éternité j'arrive enfin a articuler des mots.

Léa : je veut y allez maintenant.

Je sort du garage et cours comme si ma vie en dépendait en direction du parking pilote. Accompagné de Martin mon ingénieure chef et Laurent mon physio. Ce dernier nous conduit tous en ensemble vers l'hôpital où Mick à été transporté.

Arrivé là bas, toujours les yeux rouge et les joues humide par mes larmes. Les journalistes sont devant l'entrée tous agglutinés les un sur les autres. Je suis incapable de réagir au questions de tout c'est vautours.

En arrivant dans la salle d'attente je vois certaine personne de l'écurie Haas attendant les nouvelles.Mais aussi les autre pilotes. Je m'avance vers mon frère. Il me regarde avec c'est yeux, c'est yeux qui me font fondre. Ils m'envoie toute sa tendresse et sont amour par le seul langage sans parole.

Il me prend dans c'est bras. C'est bras qui mon si souvent réconforter. Après ma première peine de cours, ma première course perdu et bien d'autres encore.

Pierre : les médecins vont pas tarder à arriver je pense.

Je me blottis encore plus dans c'est bras. Je m'assoie sur la chaise à côté de Pierre et me colle à sont épaule. Toujours les larmes au yeux sens me rendre compte je tombe dans les bras de Morphée.

Je sens une main me caresser les cheveux, je me réveille doucement et vois Pierre m'indiquer les médecins qui arrive.

Médecins : bonjours vous êtes les proche de monsieur Mick Schumacher, plus de peurs que de mal rassuré vous. Il a une foulure au poignet et une côte déplacée. Il à demander à voir une certaine Léa Gasly

Léa : hum oui c'est moi

Médecins : chambre 9, il doit dormir

Sans attendre les dernier mots du médecin je part le voir.Devant sa porte j'inspire profondément. Ma main ce pose sur la poignée de porte. Le froid de cette dernière me fait frissonner malgré le pull sur mes épaules.

En entrant je le vois brancher à des machine de partout. Il dort, je m'approche délicatement de lui et pose délicatement mes lèvres sur sont front et passe ma main sur sa joue où je laisse mon pouce caresser sa pommette.

Je tire le fauteuil derrière moi et me laisse tomber dessus. Je pose ma mains sur la sienne. Et le regarde, il n'a pas l'air d'avoir mal. Plutôt reposé même sa me fait du bien de le voir aussi apaiser.

Léa : je suis contente de te voir aussi apaisée, tu m'as fait peur tu sais. Vraiment, je sortais d'une réunion et je suis allez devant les écrans pour voir où tu en étais dans les qualifications. Et c'est arrivé, j'ai vue tout mon monde s'effondrer, encore une fois.

Je reprend mais esprits toujours les larmes au yeux.

Léa : Mick, me refait jamais sa. Je t'en supplie. Mick plus jamais. J'ai perdu trop d'amis comme sa. Je tiens à toi Mick, t'es mon petit schumi à moi.

Je sens une présentation sur ma main. Je relève les yeux et tombe sur c'est prunelle bleu. C'est yeux pour qui je pourrais tout faire.

Mick : jolie pull

Je lâche un petit rire cristallin et le vois sourire. Puis il ressert la prise sur ma main encore plus fort. Pour m'indiquer sa présences. Je le voit me regarder.

Mick : viens là mini Gasly.

Je ne me fit pas prier et me lève je me pause sur le lit et m'allonge. Je passe mon bras au tour de c'est côté et pause ma tête sur sont thorax. Je l'entends geindre de douleurs.

Léa : désolé

Mick : arrête d'être désolé tout le temps

Je rigole à c'est mots qui peut par être anodin pour beaucoup de personnes mais pour lui et moi. C'est mots veulent dire beaucoup de choses.

Il place sa main sur mes cheveux et les caresses. J'écoute sont cœur. Il bat, il bat vite très vite. C'est bruit m'apaise. Il veulent dire qu'il est en vie. Que tout vas bien.

Mick : tu fais quoi ?

Léa : j'écoute ton coeur il bat vite

Mick : c'est parce que tu es là dans mes bras

Léa : raconte pas n'importe quoi toi

Mick : tu veux qu'on parle ?

Léa : de quoi ?

Mick : de la nuit dernière ? De l'accident ?

Léa : j'ai pas envie de parler de la nuit dernière Mick. Et si tu veux parler de l'accident je t'écouterai.

Mick : je sais que tu as eu peurs. J'ai t'es entendu parler quand je dormais. Et j'ai bien aimé le bisou sur le front.

Je ne réponds rien, je préfère ne pas parler et laisser unique le bruit de sont coeur occupé mes oreilles.

Mick : je sort dans 1h tu m'attend

Le temps que monsieur ce prépare je retourne m'asseoir sur le fauteuil. Je le vois galéré à mettre sont t-shirt alors je me lève pour l'aider.

PDV MICK

Léa se rapproche de moi et m'aide à enfiler mon t-shirt. Elle se colle à moi et monte sur la pointe des pieds. Sont parfum me chatouille les narines. Un douce odeurs de vanille. C'est doigts effleure délicatement ma peau ce que me provoque un frisons. Si elle n'avait pas un copain je l'embrasserais maintenant.

Léa : tu as froid tu veux que je te rende ton pull ?

Mick : quoi euh non, non garde le t'es mignonne avec !

Je la vois rougir, elle est tellement adorable quand elle rougie. Faut que j'arrête sa maintenant elle a un copain. Sa me plairait pas moi a sa place. Il fait vraiment que je m'éloigne d'elle. L'avoir collé à moi me fait ressentir des choses que je ne devrais pas normalement.

Mick : tu peux allez m'attendre dans le couloir j'arrive dans 2 minutes.

Un amour à toute vitesse-Co écriture Où les histoires vivent. Découvrez maintenant