Chapitre 14

496 20 0
                                    

Léa : dit pierre je peut venir avec toi à ta sortie avec t'es copain ?

Pierre : non tu viens pas je vais voire mes potes t'es pas invitée.

Léa : mais allez s'il te plaît je sort jamais sauf pour allez au karting

Pierre : pourquoi tu sort pas avec t'es amis alors ?

Léa : je- j'ai, ils ont pas le temps !

Sur ses dernières paroles je part en claquant les pieds dans les escaliers en bois qui grince à chaque pas que je fait. Évidemment mon frère rigole et part dans sa chambre aussi jouer à un jeux vidéos. Une heure après j'entends une voiture arrivé dans la cours. Chance pour moi ma chambre donne sur la cours comparé à mon frère qui donne sur le jardin. Je cours vers la fenêtre et m'écrase la tête dessus comme un enfant de 10 ans. Je remarque que c'est la voiture de la maman d'Antoine je part vers la porte d'entrée. Je l'ouvre avant que monsieur Huber frappe. Il me regarde étonné puis viens me faire un câlin.

Antoine : coucou lélé

Léa : coucou Antoinou

Antoine : pourquoi tu attendais que j'arrive, et avant que tu dise le contraire je t'es vue à la fenêtre et t'es essoufflé puis tu as ouvert la porte avant que je frappe. Tu veux me parler ?

Léa : OUI ! J'ai besoins de te parler d'un truc.

Nous montons les escaliers en silence pour ne pas alerter mon frère de la présence de sont meilleurs amis. J'adore mon frère mais si il savait que j'avais emmener un garçon dans ma chambre il aurait explosé. Même si j'ai 16 ans.

Antoine : bon explique avant que l'autre save que je suis là.

Léa : es-que je suis bizarre ?

Antoine : oui

Je le regarde dans les yeux est sens les larmes me monter au yeux. Je n'ai pas d'amis. Aucun, zero, je suis la fille au fond de la salle dans le coins. Celle qui mange seul tout les midis. Celle qui est toujours là dernière choisi dans les équipes de sport où dans les travaux de groupes. Je me lève de mon bureau ou j'étais assise pour me mettre dans mon lit en  tailleurs. Et laisser mes larmes faire leurs vies.

Antoine : eh eh pleure pas lélé, je rigolais c'était juste une blague. Évidemment que tu n'es pas bizarre pourquoi tu me demande ça ?

Léa : je-je, fin- fin.

Antoine : arrête de pleurer. Calme toi Léa s'il te plaît eh allez je suis là.

Puis il marche vers moi et s'assoit juste à côté de moi passe sont bras autour de mes épaules et me cale sur cette dernière. Il me caresse les cheveux doucement. Ce geste protecteur me fit beaucoup de bien, je me calme doucement et ma respiration suis là sienne doucement puis redevient normal.

Léa : j'ai pas d'amies, personnes ne veut de moi. C'est parce que je suis trop bizarre ou je sais pas il doit bien avoir un truc pour que personnes ne veux être amis avec moi. Non ? J'en sais rien, je vous vois avec Pierre et vos amis sortir ensemble les week-ends où il y'a pas de course ou le mercredi après-midi et même après les cours. Moi je rentre à la maison et après je vais au karting. J'ai Margot mais elle a déménagé ont se voit que au vacances.

Antoine : je savais pas que tu n'avais pas d'amies et que tu ressentais tout sa. Pourquoi tu l'as pas dis plus tôt ?

Léa : je voulait pas vous inquiéter.

Je décide de laisser glisser ma tête le long de ses bras puis ma tête touche ses cuisse. Je me tourne pour que mon dos sois parallèle au matelas je regarde Antoine dans les yeux. Puis je ferme mes yeux, je n'aime pas voir la pitié dans les yeux des gens. Je sens sa main passer de mes cheveux à ma joue en continue.

Un amour à toute vitesse-Co écriture Où les histoires vivent. Découvrez maintenant