Chapitre 10

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J’arrive donc face à la porte, appuie sur le bouton de l’interphone,

-          Qui êtes-vous ?

-          C’est Julie, ouvres moi.

Comment a-t-elle trouvé où j’habitais ? Peu de gens connaissent cet endroit.

J’appuie sur le bouton, j’entends ses pas se stopper derrière l’imposante porte blindée. Elle est juste là, à quelques centimètres de moi. Je tourne la clé, ouvre les deux autres verrous et pousse la poignée. Je la découvre, les yeux rouges, une valise dans chaque main,

-          Qu’est-ce que tu fais là ?

-          Je veux vivre avec toi... dit-elle d’une voix chevrotante avant que la porte se referme devant elle.

Qu’est-ce qui est en train de se passer là ? C’est quoi ce bordel ?!

Je réouvre la porte, elle est toujours là face à moi. Ok déjà c'est pas un rêve.

-          Pardon, installe-toi.

Elle fait rouler ses bagages jusqu’au milieu de la pièce pendant que je coupe le son des enceintes. Gênée, elle me regarde, ses pommettes rougissent a vue d’œil. Mes yeux se plongent dans les siens, je passe ma main derrière sa nuque, son souffle s’intensifie, des frissons parcourent son corps. Ma main se glisse dans ses cheveux, l’autre dans son dos qui la pousse vers moi. Je sens ses seins se presser contre mes abdos, son string au travers de son pantalon de costume contre mon entrejambe. Je la soulève, l’embrasse pendant qu’elle place ses jambes autour de ma taille. Je débarrasse l’ilot central de la cuisine d’un revers de la main. Sous le fracas des ustensiles frappant le sol, je la pose sur le meuble et fait tomber son pantalon qui rejoint les ustensiles. Son souffle s’intensifie encore plus, j’embrasse sa nuque pendant qu’elle retire les derniers boutons de ma chemise. Mes lèvres glissent le long de sa nuque, de sa clavicule. Mes doigts glissent le long de sa colonne vertébrale pendant que j’embrasse sa poitrine au travers de son chemisier. J’embrasse d’abord le haut de ses seins puis me dirige de plus en plus bas. Le parcours de ma bouche se ressent au travers de mon souffle chaud. Je souffle une légère brise au niveau de son téton droit pendant qu’elle passe sa main dans mes cheveux. Je vois une légère forme se créer, un léger bruit de tissu plus tard, la forme est plus distincte. Son soutient gorge glisse au travers du vêtement de coton. Je commence à le sucer au travers du tissu en jouant avec l’autre entre mes doigts. Ses doigts agrippent mes cheveux, son dos se courbe et son souffle s’accélère. Ma langue tourne autour de son sein puis mes lèvres continuent leur chemin en descendant au niveau de son nombril puis de ses cuisses. Me voilà face à son string noir, mes doigts glissent le long de ses cuisses qui s’écartent de plus en plus. Je prends le fil de son string, le décale afin de voir son vagin où ma langue pénètre. Je commence à la lécher de plus en plus en stimulant son clitoris avec mon pouce et pinçant doucement son téton. De petits gémissements s’échappent de sa bouche. Plus je lui procure du plaisir et plus mon sexe ne cesse de grossir.

-          Vas-y ! Continue ! La voix haletante, comme essoufflée.

Sous ces mots, j’accélère son plaisir en rentrant deux doigts pendant que ma langue chatouille son clitoris. Mes doigts rentrent et ressortent encore et encore. Ils vont de plus en plus vite pendant que je masse son sein de l’autre main. Ses cuisses sont de plus en plus mouillées, son souffle de plus en plus rapide et ma bite de plus en plus dur. Elle se cambre avant de me demander de remonter vers elle. Ses mains tremblent, elle retire ma chemise et me pousse sur la chaise derrière moi. Elle me regarde, les yeux pleins d’envies, pendant que je suis assis sur cette chaise. Elle se met à genoux, déboutonne mon pantalon, ma bite se dresse d’un coup face à elle. Elle le regarde, ouvre les trois derniers boutons de son chemisier pour y glisser mon membre qui se frotte entre ces deux obus à la douceur angélique. Mon gland frappe contre les boutons de sa chemise encore fermée sur le dessus. Elle pousse ses seins l’un contre l’autre, ma bite palpite de plus en plus, mon souffle s’accélère pendant qu’elle me branle de plus en plus vite avec ses seins. Je dégrafe le reste de sa chemise qui s’ouvre d’un coup. Ses yeux se plongent dans les miens, elle me sourit avant de regarder mon sexe ressortir de sa poitrine douce et chaude. Elle baisse sa tête et aspire mon sexe dans sa bouche brûlante. Des frissons parcourent mon corps pendant qu’elle me suce en continuant de presser de plus en plus ma bite entre ses seins. Je vais pas tenir longtemps si elle continue comme ça... C’est si bon...

Jusqu'à Ce Que La Mort Nous Sépare Où les histoires vivent. Découvrez maintenant