Call me

Chapitre 17.

Bryan et Mailou en média.

Mercredi 30 avril, 20h49, Toulouse.

PDV Shinny.

Moi: Aller reponds mec inutile! Stp pour une fois dans ta vie sers a quelque chose et reponds moi.

?: C'est toujours un plaisir de te parler Shinny.

Moi: Oups, tu m'as entendu tant pis, c'est triste.

Nash me fit un magnifique doigt suivis d'un deuxième.

Nash: Que me vaut ton harcèlement?

Moi: Pourquoi en rajoutes tu? Ce n'est pas comme si je t'avais appelé huit fois, envoyé soixante-sept messages ainsi que... douze appels FaceTime...

Nash: C'est exactement ce que tu as fait! Il semblait complètement blasé ce qui me fit éclater de rire. Puis j'étais à la douche, ne peux tu pas me laisser me laver tranquillement?

Moi: Depuis quand tu te laves toi?

?: OUUUUUUUUH PUNSHLINE!

Nash bougonnait tandis que j'explosais de rire une nouvelle fois.

Moi: Hayes, sale nain de jardin, arrête d'écouter nos conversations et vient me dire bonjour mongole.

Une tête toute mignonne apparut devant mon écran et lécha la caméra interne du portable de son frère.

Hayes: BONJOUUUUUUR!

Moi: Beurk degueulasse comme son frère. Bonjour à toi aussi petit être horripilant.

Hayes me fit les gros yeux avant de les lever au ciel et de finir par une tête...bizarre. Irrécupérable ce gosse.

Nash: Ne me met pas dans le même sac que cette...chose. m'avertit Nash en regardant Hayes comme si s'était un Alien bizarroïde.

Moi: Bon allez dégages sale gosse, faut que je parle a ton frère en privé. EN PRIVÉ! Cela veut dire que tu ne dois pas écouter aux portes compris?

Il partit apres m'avoir soufflé un baiser que je fis semblant d'éviter avec dégoût.

Nash: Bon, tu voulais me dire quoi? me demanda-t-il apres être certains que Hayes était partis.

Moi: Je me suis réconcilié avec Johan!

Un grand sourire vint étirer ses lèvres.

Nash: Serieux? Au putain mais c'est génial ca Shy! Je suis trop trop content pour toi si tu savais! Je te prendrais bien dans mes bras mais bon...

Fichue distance.

Moi: Ouais moi aussi, je suis allé le voir hier et on a mis les choses au clair... Il me manquait de trop!

Nash: Tu m'étonnes c'est normal...

Il me sourit, de ce doux sourire qu'il a quand il est vraiment heureux. Pas celui qu'il aborde quand il rigole ou qu'il fait une blague...non celui qu'il montre quand il est content, heureux, que tout vas bien...celui qui me fait craqué.

Nash: Au faite, tu fais quoi ce week end?

Moi: Je vais chez mon père.

Ses yeux s'écarquillèrent de surprise et sa bouche s'entrouvrit.

Moi: Quoi?

Nash: Rien, il secoua la tête plusieurs fois, c'est juste que tu ne m'as jamais parlé de lui avant.