She/Her

Chapitre 5

Nous arrivons au bus ou un troupeau d'élève, de parents et de profs nous attendent.

_Ok, on va tous mettre dans le bus mais avant on va vérifier une dernière fois qu'on ait rien oublier, ça vous va ?

Tout le monde acquiesce. Nous nous mettons au travail et personnes n'a rien oublier, c'est parfait. Une fois les affaires vérifier et poser dans les soutes des bus, on rejoint nos classes respectives. Au cas où, je dis à ma sœur de m'envoyer un message s'il y a un problème. Après l'appel effectuer nous montons dans le bus réserver aux terminales, Louane et Lise se retrouve dans le bus pour les 3èmes. Parfait, je ne voulais pas avoir à lui faire face. Je sens la tête de Mathilde se poser sur mon épaule et vois qu'elle commence à s'endormir.

_On n'est pas encore partie qu'elle dort déjà.

Je sourie un peu, sort mes écouteurs et lance ma playlist. Quand je regarde par la fenêtre, j'arrive à voir les élèves dans l'autre bus. Ma sœur est assise du côté de l'allée et Mathilde coté vitre. Quand Louane croise mon regard, celle-ci me fais coucou ce qui attire l'attention de Lise vers moi. Mon regard se pose sur Lise puis je détourne vite les yeux vers mon téléphone. Je décide d'envoyer un message à Louane :

_ « Passe-moi le téléphone de Lise au cas où elle aurait un souci ou si je n'arrive pas à te joindre. Voici celui de Mathilde... ».

J'appuie sur le bouton envoyer et regarde vers Lise pour voir sa réaction. Quand ma sœur reçois mon message elle le montre à Lise qui prend à son tour son téléphone, je vois qu'elle note quelques choses. Mais par contre, Louane, elle ne fais rien. Quand tout à coup je reçois un message. Je regarde et vois un numéro que je ne connais pas. Il est marqué : « Coucou, c'est Lise. »

Elle m'a directement envoyé un message, c'est vrai que c'est une autre solution. Je me surprends à sourire. J'enregistre son numéro et la regarde. Elle me regarde aussi. J'essaie d'articuler un merci qu'elle arrive à comprendre. Elle me répond avec un joli petit sourire qui viens aussi se poser sur mon visage. C'est à ce moment-là que les bus on commencer à bouger. C'est partie pour un long voyage. Les bras de morphée m'emportent tendrement dans la douceur de la nuit.