She/Her

Chapitre 8

Bon, les affaires dans la tente c'est bon, dormir c'est bon, déjeuner c'est bon, maintenant....

_Je ne veux pas y aller :/

_Monte aller tu vas voire c'est cool !

_C'est cool c'est cool, ils disaient la même chose pour le Titanic hein !

_Mais là on est sur un lac, en juillet tu ne risques pas de mourir de froid.

_Mourir de froid non, mais mourir à cause d'une bête monstrueuse qui se cache au fin fond du lac et qui décide de se réveille soudainement quand je suis là, SI ! Math tu me connais...

_Monte s'il te plait.

Je sens quelqu'un qui prend ma main. Je n'ai jamais toucher cette main, je ne reconnais pas qui ça peut être, par contre la voix elle je la reconnais.

_Lise, je déteste ça, ça m'angoisse beaucoup, c'est ma plus grande phobie... Non en réalité cette phobie rivalise avec les araignées donc en soit...

_Fais le... Fais le pour moi.

Je la regarde du coin de l'œil, elle me regarde avec un air suppliant et je sens sont pouce me caresse le dos de ma main. Mon regard fini par la quitter pour se poser sur Mathilde.

_D'a... D'accord.

Je mets un pied dans le bateau.

_Math si je meurs tu meurs avec moi, si au bout de 3 min tu ne me rejoins pas en enfer, je ferais en sorte que ça t'arrive aussi !

Elle me tend la main que j'attrape aussi rapidement que possible.

_Mais oui mais oui c'est ça aller grimpe.

Je fini d'entrée entièrement dans la barque puis nous commençons le cours. A la fin de la journée, on a une course, équipe A contre équipe B. Nous sommes 6 dans chaque équipe et nous formons deux files indiennes, les bateaux accrocher par une corde. Le but est de ramer le plus vite possible, de contourner une bouer et de revenir au point de départ. Notre bateau se situe tout devant. C'est donc nous qui menon la marche. Un moniteur ainsi qu'un de nos professeurs sont à bord d'un bateau motorisé. Lorsqu'il donne le départ, Mathilde et moi donnons toutes notre énergie afin de pagaille le plus vite possible. Lise et Louane elles contrôle la direction du bateau. Tout le monde s'encourage les uns les autres. Et nous arrivons les 1ers avec juste quelques secondes d'écart, yes !

Et là c'est le drame...