𝑈𝑛𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒．．． （Bakugo x oc )

🪐-Pétard mouillé !

Pdv Izyrah

C'est Kastuki Bakugo, qui me dévisage sévèrement, il n'a pas l'air plus différent que dans l'animé, le même regard, le même physique et surement la même attitude. Après m'avoir jugé du regard il dit :

Katsuki : Tes parents ne t'ont pas appris a regardé devant toi ? Il l'avait dit méchamment. Puis t'es qui toi encore ?

Gon : Bakugo je te présente Izy', il se tourne vers moi, Izy' je te présente Kastuki Bakugo.

Katsuki : Tss.

Kirua me regarde désolé de ce qu'il vient de ce passé et m' explique que la personne que je devais rencontrer n'est autre que ce mal élevé. Il m'explique aussi que lors de leur première essais pour me ramener par erreur dans cet univers, il était arrivé par erreur ce qui veut dire que je dois le renvoyer chez lui. Mais moi je n'en ai rien à faire. J'avais peut être apprécié Bakugo dans l'animé, mais ce regard limite méprisant à mon égard m'a vexé il ne me connait même pas, j'avais bien fait de lui rentrer dedans exprès ou pas j'aurais même dû lui écraser le pied, heureusement que je ne me suis pas excuser.

On pourrait surement dire que c'est abuser de ma part de penser cela
de lui dès notre rencontre, mais c'était plus fort que moi, ce regard glacial et méchant m'avait refroidit. Mes amis l'ont sans doute remarqué.

Gon: Tu sais Bakugo n'ait pas quelqu'un de méchant, il a juste son caractère. Tu verras quand tu le connaîtras mieux !

Je lui fais juste un oui de la tête et on continue notre chemin jusqu'à l'endroit où j'allais séjourner. Cette chambre est juste incroyable, il y a un grand dressing et une salle de bain intégré j'ai littéralement les yeux qui brillent . Mon ami me dit qu'on irait faire quelques achats demain histoire d'avoir de quoi m'habiller ces quelques jours, puis on se dirige à table pour manger. On est que cinq à manger parce qu'à ce qu'on m'a dit leur reste de la famille étaient partis faire différente mission, ce qui qui n'est pas pour me déplaire. Pas que je ne les aimais pas mais manger entourer d'assassins très peu pour moi. A table avec moi il y avait Gon, Kirua, sa petite sœur Aruka et Bakugo,
j'étais assise à côté d'Aruka mais par malchance la seule place de libre étais
celle en face de moi et comme par hasard le seule qui n'étais pas assis
étais la face de pétard mouillé. Le repas qui avait l'air si bon pris instantanément un gout amer, un silence pesant régnait jusqu'à ce que ma petite Aruka le brise, je jure que si cette enfant n'avait pas exister je l'aurait moi-même inventé, elle
balance d'un coup en désignant Bakugo du doigt .

Aruka : Grand frère, pourquoi il boude et tire la tronche ton amis ? Vous vous êtes battu ? Tu aurais quand même pu aller doucement ! Elle se tourne vers Bakugo. Tu sais c'est pas grave de perdre face à grand frère par contre arrête de faire la grimace tu vas rester comme ça.

Je me contenais déjà de rire au début de sa phrase mais là le ton qu'elle avait pris additionné à la tête de Bakugo était beaucoup trop pour moi et je part en fou rire direct sous le yeux de tous, je vois bien mes deux amis en avaient envi eux aussi mais ils se contenaient sous peur d'énervé le pétard qui me lançais actuellement un regard noir.

Kirua : Aruka dit pas n'importe quoi !

Ce n'était pas méchant mais je n'allais pas rester sans rien dire, la pauvre l'avait vraiment mal pris son grand frère n'avait pas l'habitude de lui parler ainsi, donc je répliqua :

Moi : Ne lui cris pas dessus, elle dit juste ce qu'elle pense elle, je tourne ma tête en direction de l' hérisson un sourire moqueur au visage, et puis si l'autre a une tronche de pétard mouillée il ne peut s'en prendre qu'à lui-même.

Je prends la Aruka par la main comme elle avait fini son plat et on se dirige toute les deux vers sa chambre en rigolant comme des attardés car les garçon n'avaient pas bougé d'un millimètre suite à ma dernière phrase surement parce que j'avais ouvertement provoqué Bakugo.

Arrivé dans la chambre d'Aruka,
j'ai littéralement les yeux qui brillent, je n'ai jamais vu autant de jouets rassemblés dans une seule et même pièce de toute ma vie. J'avoue avoir laissé mon esprit enfantin prendre le dessus, car on avait clairement joué à tous les jeux possible et imaginable. Aruka était épuisé donc je pris l'initiative de la coucher et de ranger tout ce bazar, puis je sortis de sa chambre en direction de la mienne provisoirement.

Je marchais dans les couloirs sombres, pas très rassuré jusqu'à ce qu'une ombre vienne confirmer mon inquiétude me faisant pousser un cri des plus aigu.

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