Chapitre 10 ♥

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« Super. » dit-je ironiquement.

C'est parti pour une journée de merde.


« Et où elle est Anaïs ? »

« Dans sa chambre, elle dort encore... »

« Ok »

« Bon j'y vais, je suis déjà en retard. »

« Ouais ouais salut »


Je monte les escaliers pour aller réveiller Anaïs, je la trouve confortablement endormi dans son lit serrant un de ses nounours de toutes ses forces. Elle est vraiment adorable, la voyant comme ça je ne peux plus être énerver contre ma mère qu me force à garder Anaïs, parce que j'aime beaucoup m'occuper d'Anaïs.

« Ana ? »

« Laisse moi dormir Tom » Anaïs dit en mettant son oreiller sur sa tête. A peine 4 ans et elle est déjà comme ça. Ça promet !

C'est vrai que j'aurais pu la laisser tranquille mais je crois que je n'ai juste pas envie de rester seul avec Louna après ce qu'il vient de se passer où même mon comportement d'hier. On pourrait commencer à se battre en moins de 2 minutes alors que si Anaïs est la elle va apaiser les tensions. Enfin j'espère...

Je lui tira la couette et la pris sur mes épaules. Elle rigolait.

« Tomm, laisse moi descendre » elle me donnait des petit coup de poing dans le dos.

« Non tu ne descendra pas ! »

On était arrivé en bas, dans la cuisine plus précisément.

« Louuuuna aide moi »

Elle tourna la tête et semblais amuser. C'est la première fois depuis que je la connais que je la vois sourire. Je pense que c'est pour ça que j'ai beugué, la voir sourire est quelque chose de.... magnifique. Mais à quoi je pense ? Et en plus je reste là à la regarder sourire, je pense que si Anaïs n'avait pas bouge ses mains devant mes yeux je serais rester la regarder parce qu'elle m'intrigue de plus en plus.

« Tom.... TOM »

« Oui oui descend »

« Merci Louna »

« Mais... Je n'ai rien fait »

Anaïs la regarda, me regarda et explosa de rire. Ma sœur a un problème.


Point de vue de Louna :


La matinée c'est bien passée. Enfin comme peut ce passer une matinée quand on est malade et qu'on se trouve dans une maison inconnu avec des gens que vous connaissez depuis 3 jours.

Je suis allongé devant la télé, toujours en pyjama avec la veste de Thomas, il faudrait que je songe à la lui rendre. Peut-être que si je ne la lui rends pas il ne s'en rendra pas compte ? Je ne pense pas. On vit quand même 24h/24 ensemble.

Ding Dong

Qui vient me déranger dans ma profonde réflexion ? Je n'ai pas envie d'aller ouvrir parce qu'il est peu probable que je connaisse la personne qui se trouve de l'autre côté de la porte et surtout que j'ai une tête horrible parce que je suis malade mais je n'ai pas trop le choix, Thomas est en train de mettre Anaïs à la sieste.

Ding Dong

C'est pas possible d'être aussi impatient, ça faisait à peine 30 secondes...

« Oui, oui j'arrive... »

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