Le départ d'izuku m'a énormément affecté. Il n'était pas mon seul ami certe mais il était bien plus important que tout le monde.
Il était spécial pour moi. Quand j'étais avec lui plus rien n'avait d'importance. Il traversait un moment difficile alors j'essayai d'être le plus présent possible pour qu'il ne se sente pas seul.
Mais on me l'a enlevé du jour au lendemain.
C'était extrêmement dur pour moi, je n'ai jamais pu l'oublier au contraire plus je grandissait, plus il était présent dans mes pensées.
Si enfant je pensais qu'il était mon meilleur ami en grandissant je me suis rendu compte de mes vrais sentiments envers lui et c'était un choc car non seulement je venais de découvrir qu'en fait je n'aimais pas une fille mais un garçon mais ce qui était encore plus dur à accepter était que celui qui faisait battre mon coeur n'était même pas présent et que je n'étais même pas sûr d'un jour le revoir.
J'ai commencé à me renfermé sur moi même, m'énervant pour un tout et pour un rien. La merde quoi.
Chaque soir en m'endormant je serrai fortement son doudou en me disant que peut-être le lendemain il allait réapparaître.
Mais celà a duré huit années.
Huit ans où toutes mes pensées étaient tournées vers lui, huit ans où mon amour pour lui ne fait qu'accroître.
Mes potes ont tout tentés pour que je l'oublie sans succès. De toute façon je refuse de l'oublier.
Mais je perdais peut à peut l'espoir de le revoir. Je voulais y croire jusqu'au bout mais voilà.
Alors je voir devant moi, ce jour-là m'avait fait un un choc que tout mon corps s'était figé.
Lorsqu'il avait sourit en prononçant mon nom les yeux larmoyant, j'avais ressentis de drôle de palpitations.
J'avais l'impression que mon monde avait été reconstruit.
Sans pipé un mot, je l'avais tiré hors de la fête, dans un des bâtiment calme de l'académie et je m'étais empressé de me jeter dans ses bras le serrant aussi fort que je le pouvais.
"Kacchan..je suis tellement heureux" chuchote t-il.
Je resserre mon étreinte au tour de lui humant en plein poumons mon odeur qui m'avait tant manqué.
"C'est vraiment toi..."
"Je suis de retour kacchan" me souffle t'il souriant.
Un sourire éclatant avait étiré mes lèvres suite à cette phrase.
"Bienvenue Izuku ".
Fin.
