Chapitre 28: "Soirée pyjama?"

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PDV d'Alexandr.

Mon cher frère Sony, tenait le pauvre loup par la gorge, Sasha réalisait encore, Ken était prêt à tuer, Yami pleurait à cause d'une part de gâteau qui aurait disparue, histoire qu'elle racontait à Apollon, ce dernier étant à deux mètres du sol.

Masha, elle.......Elle venait d'apparaître, et tabassait présentement Sony. Elle frappait Sony rageusement......elle......frappait...

-Masha que t'arrive t'il? Si tu dois frapper quelqu'un ce serait Apollon, à la limite.

Ce dernier me lança un regard meurtrier, puis laissa apparaître un sourire niais tout en observant Masha massacrer le pauvre Sony.

-Une beauté violente, totalement mon type.

Ce sale loup venait de qualifier ma soeur, enfin cette individue avec laquelle je partageais le même sang de "beauté violente".
D'accord, la situation ne pouvait pas être pire et dans ce moment, la seule personne capable de gérer , c'était bien mon petit diamant.
Alors tout doucement, je m'approchais d'elle.

-Mon petit diamant, ne pleure pas tu auras du gâteau dans un instant, Apollon s'en chargera. Mais à cause de Sasha, il ne peut pas faire le gâteau que tu aimes tant.

Je lui avais murmuré cette phrase à l'oreille tout en caressant son ventre arrondit, ce qui avait un effet calmant.

-Lexi, tu penses qu'Apollon pourrait me faire un gâteau fourré aux biscuits ?

Elle avait cette mine, celle qu'elle faisait quand elle voulait quelque chose.

-Bien-sûr mon sucre. Tout, tu auras tout ce que tu désires.

Je venais de parler avec tout mon cœur, celui qu'elle avait révélé en moi, celui qui lui appartenait.

Si Apollon n'était pas en train de suffoquer, j'aurais montrer à Yami toute mon affection, de tant de manières.
Cependant, la situation ne le permettait pas, donc je pressais un peu Yami.

-Mon petit diamant, si Sasha fait bobo à Apollon, tu n'auras pas de gâteau fourré aux biscuits.

Elle se dégagea de mes bras violemment, le signe d'une crise de nerfs.
Et oui, depuis sa grossesse, ma tendre et douce Yami avait développé des crises de nerfs terrible, juste après mon moment de faiblesse, moment assez honteux de ma vie.
Quoiqu'il en sois, ses crises étaient violentes parce que malgré son ventre proéminent et son petit gabarit, elle avait des paroles acérées qui vous découpait en morceaux.

Et le pire, c'était quand elle disait qu'elle haïssait profondément l'un d'entre nous et qu'elle lui interdisait de s'approcher.

Et je parlais de vécu.
Satané part de cake.

Bref, ça commençait.

Dévorée par le ciel  (Tome 1) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant