PDV Empereur.
Je ne savais pas pourquoi, l'odeur de cette faible humaine faisait naître en moi une féroce passion.
Alors quand je l'avais vue seule dans la nuit, assise au sol, ses cheveux étrangement blanc traînant dans les feuilles mortes, j'avais eu envie de la prendre dans mes bras.
J'avais ensuite compris qu'elle ne voulait plus vivre, qu'elle était prête à accepter la mort, qu'elle l'attendait.
Puis, quand elle a plongé ses beaux yeux vairons dans les miens, j'ai ressentit quelque chose dans l'organe que je n'utilise jamais, celui qui, je pensait ne me servirait plus à rien.
J'ai pris le temps de l'observer, et j'avais pu voir à quel point elle était belle.
Ses longs cils blanc, son petit nez légèrement retroussé, ses lèvres charnues, sa généreuse poitrine nacrées dévoilée par sa robe déchirée, ses petites jambes blanches aux genoux rougis.
Il y avait aussi sa nuque qui m'avais émerveillé; la façon dont elle avait dégagé sa chevelure, m'avait ému profondément.
Pour la première fois en plus de mille ans d'existence, j'ai eu envie de protéger quelque chose d'autre qu'un royaume.
Quant à sa voix, elle devait être exquise, douce et envoûtante, une voix qui me pousserait à tout rien que pour l'entendre encore et encore sans arrêt.
J'ai eu envie de l'entendre rire , pleurer, de la voir vivre, aimer ou bien m'aimer.
Elle m'observait des ses yeux vairons, attendant peut-être une explication de m'a part, mais je n'avais pas besoin d'expliquer, je suis et je serai toujours l'Empereur, je dis et j'ordonne, je n'explique pas.
Je prends et je donne selon mon bon vouloir et c'est pour cette raison que j'avais décidé aujourd'hui de prendre la vie de cette humaine, de me l'approprier pour toujours.
Mon monologue intérieur pris fin au moment où j'entendis une petite vois.
-Ma vie, mon corps, mon cœur, ne m'ont jamais appartenu, alors je vous donne tout. Je veux juste pour une fois vivre. Murmura t-elle.
Je n'ai rien dit, je l'ai juste gardée dans mes bras endormis dans mes bras. .
Je la voulais.
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Dévorée par le ciel (Tome 1)
مصاص دماءJe n'oublierai jamais le jour où je l'ai vu pour la toute première fois. Il faisait sombre, seules les étoiles brillaient dans cette couche noire. Il n'y avait ni brise légère, ni bruits lugubres, mais ce jour-à, il était là, à m'observer seule et...
