LE RETOUR

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Pendant une journée ensoleillée, l'un de ses Matin où la rosé reine encore, nous étions en plein investigation pour le maintien du village Propre. C'est là que je l'aperçu pour la toute première fois. Elle était là, toute belle tel un ange descendue du ciel, j'admirais une telle perfection, et ce visage qui vous indique que vous n'êtes rien, que vous ne vallée absolument rien face à autant d'élégance.  Je constatais sur ce visage divinement angélique un air bouleverser et apeurée. Elle venait d'être déposer par un véhicule et intriguer de connaître sa destination, j'admirais  .

- Monsieur, bonjour !
Disait-elle toute perdue à ce vieux homme.

- Bonjour belle créature ! Comment puis-je vous venir en aider ?
   
Sa chair si fraîche, telle une bonne viande de bœuf retentissait le papi qu'elle venait d'interpeller. Je ne bougeais plus, j'étais comme figé devant une aussi belle statuette. J'avais stoppé la manœuvre.

- Je cherche la demeure de Monsieur Hamidou et ses épouses Maï et Farida.
   
Je me posais des questions, pourquoi le recherche t'elle ? Est-elle sa troisième épouse ? D'après ce que j'avais appris , Monsieur Hamidou était un homme violant, qui avait fait vivre un enfer à sa femme Maï et que malgré tout, cette dernière avait demeure, percévérée dans ce mariage jusqu'atteinte de son apogée.

- Oui très chère, vous prenez le long du chantier, et à votre droite la clôture est celle de votre recherche.
   
Très heureuse, elle pris le vieux homme dans ses bras. Comme j'aurais aimé être à la place de ce vieux monsieur. Les autres, ayant remarqués l'objet de ma convoitise étaient, aussitôt comme submergés,  impressionnés, devant une telle beauté, une telle perfection, une créature divine. Il ne fallut qu'un fragment de seconde pour que la manœuvre ne soit plus que de l'objet ancienne
Tous étaient là, l'admirant, la dévorant du regard. Et à chacun de ces pas, elle mettait un homme à terre, et prenait ainsi son cœur en signe de trophées.
     
     Le chantier indiqué par le vieil homme était celui donc nous fassions le nettoyage. À chaque passage, elle nous disait ''bonjour'' avec l'un de ses sourires qui me faissait perdre la tête. D'aucuns se précipitaient vers elle pour lui prendre ses affaires et à moins d'un fragment de seconde, elle avait emmagasinée la moitié des hommes du village y compris moi .

   Quant elle fut enfin arrivée à l'entrée de la clôture, elle eu un moment de frisson, qui se fessait voir sur son jolie visage.
  La masse d'hommes présent face sa barrière intriguait Hamidou, ainsi il se leva pour voir car la dernière fois qu'il avait vu une masse d'hommes aussi pareil devant cette clôture était lors de l'annonciation de la grossesse de Maï ainsi que lors de sa nomination au rang IMAM.

     Il se leva, se dirigea vers la clôture, l'ouvrant et tomba face à face devant ce jolie visage, elle était toute belle et si perdue. 

LES LARMES DE MON CŒUR Où les histoires vivent. Découvrez maintenant