Le festin s'était déroulé sans encombres et sans la présence de la belle Annabelle.
Sa fait déjà six semaines qu' Anabelle était arrivée au village, partout on parlait de son nom et elle faisait la une de toutes les disputes et tout les voies basses.
Anabelle avait été indignée à la maison par son père, depuis lors, quant elle ressentait le besoin de se dégourdir les jambes, elle était toujours en compagnie de Mariana, car son père n'avait plus confiance en elle, il allait même à penser le pire sur elle.Un soir de dimanche, après la prière quotidienne du soir, monsieur Haram était reste pour s'entretenir avec l'imam Hamidou
- Salam aleykoum mon frère
- Waleykoum Salam , que me vaut donc cette assemblée ?
- Tu es sans te douté que la scène effectuée par ta fille Anabelle, n'a laisser des séquelles.
- Je le sais bien, est-ce pour cela que tu resté ? Pour me rappeler que ma fille n'a aucun respect pour les écrits d'Allah?
- Non loin de là mon frère ! Il ne serait parler ainsi d'une telle beauté, car comme vous l'avez si bien dit le mot beauté a été inventé pour elle. Je veux dire que ta fille, provoque en moi, des séismes.
- Des séismes? Monsieur Haram ?Anabelle, venait déposer du thé pour son père et son invité, intriguée que ce monsieur lui admirait tant, elle décidait de rester cacher afin de prendre par à leur discussion en secret.
- Oui, je voudrais la prendre comme seizième épouses , car comme tu sais je me fait vieux et mon argent, mes bétails, mes plantations, mes allocations ont besoin d'être diriger avec le plus grand soin, car comme tu sais aussi aucune de mes quinze épouses n'ont fait l'école, pourtant la tienne si !
- Comme 16ème épouses!
- Oui et tu sais bien mon frère, que l'argent pour la dote n'est pas un problème, j'ai tout absolument tout pour régler cette dote.Sur le coup du choc, ANABELLE sortie de sa cachette en criant
- Même si le monde s'écoulait sur mes pieds et que le seul homme sur terre que se séisme avait épargne était vous, jamais je ne vous épouserait.
- ANABELLE ! Que fait-tu l'as ? Ta mère ne t'a pas apprise que quant deux hommes, se concerte la femme n'a aucun mot à dire ?ta place comme toutes celles de ton espèces est à la cuisine ?
- Mais papa les choses telles que tu les connaissais ont évolués, de nos jours les femmes prennent part au discussions d'une importance capitale sur l'évolution d'un pays, ont leur mot à dire sur ce qui concerne leur vies !
- Assez ANABELLE, excuses toi, devant monsieur Haram.
- Jamais papa, cette homme est cruel, il possède déjà quinze femmes et plus d'une cinquantaine d'enfants, malgré tout il veut en prendre une sixième . Tous sa pour quoi ? Parce qu'il possède plus d'argent ? De bétail ? De maison?de terre ? Non papa ce type d'homme n'aura jamais mon respect.
- ANABELLE.Pris de rage, il frappa sur sa fille, et la traîna de force à l'arrière de la maison et appelait Maï avec une rage qui pouvait détruire tout sa construction
- Oui mon mari, quel est donc le problème ? Pourquoi ta voix est d'une telle rage ?
- C'est ta fille le problème.
- N'est t'elle pas aussi la tienne ?
- Ta fille ne respecte rien à rien. Tu vois, tu as voulu qu'elle aille faire des études afin qu'elle devienne une personne meilleur. Mais cette école qu'elle a fait l'a rendue plutôt insouciante et coquille vide, cette école lui a enlevée sa culture et lui a impliquer des balivernes. Comme quoi une femme a des droits, c'est faux elle possède qu'un seul vrai devoir celui d'être soumise a son seul maître et dieu qui est son mari.
- Faux papa, l'époque donc tu vie n'est plus d'actualité, le monde a évolué, la cultures aussi.
- ANABELLE, ne parle plus, ne dit plus aucun mot
- Mais maman, tu as, et j'ai le droit de me défendre face à ses tromperies que répète ton mari
- Femme, prend ton enfant et fait l'a sortie de ma vue . Avant que je ne perde l'estime de moi et que je devienne puisqu'un boeuf fou.
- ANABELLE, allons y. Ton père a besoin de se calmer.Les deux femmes allaient dans la maison et Hamidou retourna vers la face de la maison afin d'achever sa discussion avec son ami Haram.
- Je tiens tout d'abord à m'excuser du comportement de ma fille, la ville n'a pas été de tout bonheur avec elle, elle prendra un peu de temps pour s'habituer à nos religions.
- Sans soucis mon cher ami, je te laisse te décider sur ma demande et j'espère elle sera favorable pour moi .
Les deux hommes se séparaient.Maï était allé dans la maison avec sa fille afin de lui apporter des soins sur sa joue.
- ANABELLE qu'à tu fais, ne vois-tu pas que ton nom est traîné dans la boue comme était autre fois le miens ?
- Mais maman j'ai juste voulu me défendre, j'ai peur que papa me donne a cet homme, tu te rend compte qu'il a plus d'une dizaine de femme ?
- Mais il reste tout de même l'un des hommes les plus puissants de notre village.
- Maman son argent m'importe peut, moi je voudrais d'un homme qui m'aime, je ne peux me marier sans amour. Même si l'homme de ma vie est un pauvre pousseur alors je le marierai et nous vivions dans notre pauvreté et notre seul trésor serait cet amour qui nous lie.
- Ce que tu demande tu ne pourras jamais l'avoir. Non, pas ici car ce que tu appelles l'amour, ici représente la religion.
- Maman je ne viens pas abolir les règles édictées autres fois par nos ailleurs, non je viens juste les apporter un peu de modernité.
- Cette modernité conduira la perte de ton père.
- Est-ce mon bonheur que tu souhaites ou l'hégémonie de mon père ton mari ?
- Ne me demande pas de choisir, car ton bonheur est plus important certe, mais il ne tarde pas oublier que ton père a travaillé dur pour se hisser haut et s'assoir auprès des grandes personnalités de ce village.
- J'en déduit que tu prends partir de son dossier.Et elle sortait de la maison en courant et venait prendre place auprès du bétail.
La voyant ainsi, je pris mon courage et vint lui parler.- Pourquoi pleures-tu ? Pourquoi tes yeux reflète le désespoir ? Pourquoi tant de haine dans ton regard ? Ce regard autre fois que je me perdais, aujourd'hui je me nouille dans cette mer de larme. Je voudrais que tu saches à quel point la vie est si belle et qu'il ne tarde qu'à toi de la vivre.
- Je pleure un avenir incertain et un passé douloureux, un présent éphémère qui semble s'évanouit trop vite. je plus la nostalgie des moments heureux qui sont partis trop tôt, le malheur des autres, le bonheur des autres qui semblent supérieur au mien. Je pleure la vie et la mort. Je pleure la douleur et la peur, je pleure la colère et la rage , je pleure la joie.
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LES LARMES DE MON CŒUR
RomansaUne femme est une bénédiction, un cadeau d'Allah en personne... Comment devrait-elle être traîter ? Avec délicatesse ? Amour ? Luxueusement ? Difficilement ? Devrait-elle subir plusieurs marginalisation pour enfin dévoilée son potentiel ? Pour Maï...