L'INATTENDU

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  Monsieur Hamidou était dans un état dont il ne fallait surtout pas s'approcher, un peu comme un four préchauffé à plus de trois cents décret.

- Papa ! Je te le répète jamais je ne prendrais cette fille comme épouse, car j'appartiens déjà à Elisabeth.
- Idiot ! Vas-tu la ferme ta large gueule ! Que connais-tu de l'amour ? Est-ce que les années que tu as passé à la guerre, ne t'ont-ils pas appris à être un homme fort ?
- Papa maintenant fois dans cette endroit j'aurais trouver la mort sans cette fille pour me rappeler que j'ai une famille, que je dois rester en vie pour elle ! Je ne serais pas ici .
- Et toi ; toi qui connais tout sur tous, toi qui à amener mon unique fils à me détester, toi qui me fait honte, toi qui ridiculise mon nom, toi qui me fait passer pour un mauvais dirigeants, toi qui me fait passer pour un faible, toi qui ne respecte RIEN à rien, toi , toi , toi,toi,toi,toi, et toujours toi. 

Il s'était saisir d'Annabelle par le bout de ses cheveux. Et l'a traînait hors de la clôture, Maï viens s'interposer

- Hamidou, mon mari je te supplie laisse là, fait de moi ce qui te plaira mais elle, laisse la

fondant de larme

- Dégager de ma vu , femme inutile ! Ta fille veux m'a mort ! elle veut me détruire et détruire ce que je me suis forcé de construire. Non je ne lui permettrait jamais.

Il lâche ANABELLE quelques instants

- ANABELLE enfuis toi ma fille, vas t'en  !

Hamidou, frappa Maï d'une façon donc je ne puis le décrire, sa me fessait froid au yeux. Elle saignait de tous les côtés pas une partie de son corps n'avais été épargnées.
Farida retenait son fils de ne pas intervenir, car il était capable de tout dans cet état.
Quant il eut fini, il s'empara d'Annabelle. Qui n'eu point le temps de s'en fuit car elle était comme paralysé, elle n'avait jamais vue sa mère dans cet état, elle ne parvenait plus à rien, même pleurer , ses yeux n'y parvenaient plus.
HAMIDOU, la traînait par les cheveux et tout le village étaient témoins de ces scènes torrides. Le souffle coupé, le sang bouillant, je me mit au travers de son chemin;

- Monsieur je vous respect beaucoup, mais ce donc je viens d'être témoin me fait voir à quel point vous n'êtes qu'elle bête sauvage !
- Hamad qui te permet, je te considère comme un fils, mais sa ne te donne pas le droit de me parler de la sorte !
- Monsieur cette fille que vous traîné comme une bête, comme le cadavre d'un de vos bétails , je l'aime et je veux passer le restant de ma vie avec elle.
- Un pauvre berger comme toi !

Éclat de rire de sa part, il frappa dans ses mains ! Et continue ;

- J'aurais été témoin de tous cette journée, mon unique fils qui s'accouple avec une étrangère jusqu'à aller l'enceinté, ma fille qui diffame nos traditions ancestrale sous prétexte que le monde évolue et avec lui les hommes et leur mentalités et maintenant mon berger qui avoue être épris de ma fille ! Mais pour qui me prennent-ils ? Je suis l'Imam et bien tôt je monterai en grade, alors si tu es un homme dégage de ma vue
- Partie serais renoncé à elle, j'ai toujours été présent pour elle je n'abandonnerais pas ! Pas maintenant que je suis près d'elle.

Maï était resté coucher au sol, et le sang coulait à chaude larme, elle marinait dans un bain de sang, et personnes n'osaient s'approcher d'elle.
ANABELLE ne quittait pas le corps de sa mère étalé au sol, elle n'osais plus dire aucun mot, elle était comme morte, la douleur de tous ses séquelles qu'elle se faisait quant il la traînait au sol ne lui faisait plus mal, elle n'arrivait plus à pleurer. Elle saignait et sa se voyait.

Il la relâche, et se dirigeait vers moi, elle ne bougeait pas, ses yeux était rivée sur le cadavre sa mère longeant dans le sang.
- Hamad , dégage de ma vue !

Il s'apprêtait à me frappé et aussi tôt Anabelle avait reçu le coup qui m'était destiné.

- Hamad, je l'aime et je ne voudrais pas que tu lui fasses à lui ce que tu as fait à ma mère, tu le laisses.
- Bravo bravo.
Aller reviens pas ici,

Il l'a reprises par les cheveux, et recommençait sa lancé, elle m'avait demandé de ne pas intervenir, qu'elle ne voulait pas que je sois blessé par sa faute.
Je ne parvenais plus à comprendre.

Ils arrivèrent chez Monsieur Haram. Il Jeta sa fille contre la porte, et frappa
- Haram mon ami , j'accepte ta proposition, voici comme tu le désires ta seixieme épouses .
- Hamidou mon ami, mais pourquoi est elle si amochée ? Je ne pourrai pas te donner plus que ce qu'on avait parle.
- Non mon frère ne t'inquiètes pas, sa dote je ne veux rien d'autre qu'une pièce, c'est ce qu'elle vaut largement !
- Une pièce tu en sûr ?
- Puisque je te le dit.

Haram entra da sa maison et en ressortir avec une pièce et la remise à Hamidou qui s'en alla aussi tôt.

- Mira ! prépare une chambre et installe ma nouvelle épouse.
- Oui mon mari.

ANABELLE n'était plus , elle ne se débattait pas, elle ne disait rien, ne fessait aucun mouvement, elle était comme hipnoptisée .

LES LARMES DE MON CŒUR Où les histoires vivent. Découvrez maintenant