LES LARMES DE MON CŒUR

RÉPLIQUE

Pendant mes séjours de guerres, c'est à ce moment que je fit sa connaissance, Elisabeth avait été épargnée par une expédition de soldats de par le fait qu'elle avait sauvée la vie de l'un de nos soldats.
- Mon commandant

en faisant la référence

- Repos officier ! Qui est cette fille ?
- Elle, c'est Elisabeth mon commandant
- Elisabeth ! Mais que fait elle ici ?
- Elle est aide infirmière mon commandant.
- Aide infirmière vous dites !
- Oui mon commandant
- Fait la venir me voir,
- À vos ordres mon commandant.
      Eli se dirigea vers la jeune femme
- Mademoiselle, le commandant vous réclame.
- Officier je serais au commandant des que j'aurais terminée les bandages de se soldats blessé.
- Laisser moi faire !
- Avez vous reçu une formation ?
- Non mais depuis mon séjour ici, j'apprends à faire de tous.
- Faîtes en sorte que l'hémorragie se stop , je finis mon entretien avec le commandant et je vous reviens.
- C'est compris.

Elisabeth alla s'entretenir avec le commandant et pendant se temps, Eli avait fait son nécessaire pour stopper l'hémorragie de ce jeune soldat qui pouvait avoir son âge, voir être moins âge que lui. Mais le soldat blessé avait succombé à ses plaies. Et quand Elisabeth reviens elle constate, qu'il était mort.
Lors de la seconde offensive, Eli fut gravement blessé et on confie la tâche de le remettre sur pied à Elisabeth.
- Ne vous inquiété pas soldats, je vais faire tout mon possible pour vous remettre sur pied, juste accroché vous a la vie mon soldat
- Je le ferais.

Elisabeth, avait tout fait, elle était allée même, à l'admettre chez elle afin de mieux survenue à ses besoins. Des semaines suivie, et Eli, s'améliorait de jour en jour. Ils étaient allés jusqu'à habiter ensemble, et sans vraiment le savoir ils avaient développés leur sentiments et maintenant, il ne voulait plus se séparer d'elle tellement il était épris d'elle et l'avoir auprès de lui était la plus belle chose qui ne lui soit jamais arrivé dans cet endroit fait de sang et de mort. Elle attendait un enfant de lui quant il fut enfin décidé qu'il rentre chez lui
- Ma Élisabeth je te promets de revenir te chercher, laisse moi le temps de parler à mon père et a ma mère. Et dès les formalités terminé je reviendrai.
- Je t'attendrai mon Eli Haram.

Il revient à ses esprits.

- ANABELLE, nous devons en parler avec père.

Monsieur Hamidou, était à table avec ses femmes et ses enfants faisant éruption dans la maison.

- Père nous réclamons une réunion avec vous !
- Quel est ce comportement Eli ? Ne vois-tu pas que je suis à table ?
- Père si ce n'était pas urgent, jamais je ne vous gênerai !
- Parle donc !
- Père, pendant mon séjour à la guerre, je fit la connaissance d'une femme.
- Une femme !
- Père laisser moi parler.
Comme je disais d'une femme, qui m'a aimé, qui m'a nourri, soigner, hébergé, et qui grâce à elle j'ai pu survivre dans cette environnement hostile, c'est grâce à cette femme que j'ai pu vous revenir vivant et en bonne santé. Depuis nous avons partagé le même domicile, et s'en ai allé et maintenant elle attend un enfant de moi.
- Quoi ? Farida, Maï vos enfants veulent me donner la mort ! Mais jamais vous m'entendez, je ne permettrais jamais que cette empire que j'ai construit, vous le détruisez .
- Papa , Eli, aime cette fille et il veut passer le restant de sa vie à ses côtés.
- Ferme la , idiote !
- Papa , oui je l'aime, j'aime Elisabeth de tous mon être, et l'effet que tu me demandes d'épouser cette Aïcha pour assouvir tes propres principes me dégoûte au plus haut point, papa je ne peux prendre cette fille comme épouse car auprès d'elle je serais malheur et peut être qu'elle ne me veux même pas comme époux , papa aujourd'hui je suis un homme et donc je peux prendre mes décisions tout seul.
- Un homme dis-tu, un homme qui s'accouple avec du n'importe quoi ?
- Papa je ne te permet pas de parler d'elle de la sorte ! Non tu peux tout dire de moi , mais elle laisse la en dehors de tout sa c'est entre toi et moi !
- C'est cette fille, est cause de tous nos problèmes, cette fille avec tous les illusions qu'elle a apporté ici soit disant l'amour, je me demande si vraiment je suis ton père, si vraiment tu est de mon sang !

En montrant du doigt ANABELLE

- Hamidou, comment peux-tu douté de moi ? Je ne suis jamais allée avec aucun autre homme que toi !
- Balivernes Maï, tu as voulu te venger alors tu m'as fait porter la paternité de ce truc que tu appelles fille. Mais bon elle vas me rembourser tout mes investissements que j'ai fait sur Elle.
Et toi Eli , que tu le veuilles ou pas tu épousera Aïcha à fin que la Marchal entre en partenariat avec moi, afin que je puisse me hisser haut.

Je n'ai encore jamais vu Eli dans cet état de ce qu'on m'avait dit sur lui, il était un enfant des plus calme, qu'il ne se baladait presque jamais. Maintenant je comprends que l'eau qui dort est plus profonde que celle qui en pleine éveil .