4 - A l'attaque

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PDV de Valérie : 

Je me fais réveillée par une alarme de sirène. Je comprends immédiatement qu'on est sous attaque et donc que mon sommeil doit se remettre à plus tard. Je mets mon habit de pilote militaire et je mets aussi mon parachute parce qu'on ne sait jamais. Mes hommes sont en train de faire les mêmes actions que moi. 

En sortant dehors je réalise qu'on est déjà le matin parce que le ciel a une couleur matinale. J'embarque dans mon avion que le moteur est déjà démarré par les mécaniciens britanniques. Puis, même pas quelques minutes plus tard nous sommes en vol. J'intercepte une tour de communication de la RAF et je remarque qu'il y a une personne de plus dans mon avion. 

- Boomerang en vol,  départ de Norwich, position 52 degré 41'09.8 Nord et 2 degré 06'42.8 Est. En attente de d'information pour position débarquement bombardier. 

Je remarqua aussi qu'il y avait des Spitfires qui ont décidé de me suivre comme assistance et protection aréale. Puis je me suis mise à les suivre. Mon buton de communication clignote, j'appui dessus. 

- Bien reçu Boomerang,  information reçu de la tour 5592 du groupe 6 de la côte Est. Nous attentons les ordres des états-majors mais nous vous revenons aussi peu. Veuillez continuer à circuler.

- Roger tour 5592, Boomerang en attente. 

Je fis un demi-tour pour pas m'éloigné et la je fis un signe à la 6e personne qui s'est mis dans mon avion de venir me voir. 

-Qui es-tu? lui demandai-je 

Puis, je remarqua qu'il avait une caméras sur son épaule :

- Officier Peter Bond, caméraman pour la propagande de la Guerre. On m'a dit de vous rencontrez avant mais nous avons pas eu le temps. 

- Intéressant, c'est certain que j'aurai préféré savoir à l'avance mais je vais passer pour cette fois. 

Il sorti vite fait son appareil photographique :

- Voulez-vous que je vous prenne en photo capitaine Osborne?

- Euhh, oui vous pouvez j'imagine? 

Je me suis mise à sourire et à pointer un avion qu'on voyait à travers mon cockpit. Un grand flash se prit et il me souria. 

- Ça va être une belle photo pour documenter, je pourrais faire une copie et te l'envoyer si vous voulez. 

- Parfait merci 

Un petit moment passa, avant qu'on aille eu une attaque de la Luftwaffe allemande. Assez vite mon équipe s'est mis en position en même temps que le caméra man filmait l'action. Tout se passait tellement vite. 

Nous sommes équipés de waki-talki pour se parler en nous en basse fréquence et pour dire ou on est dans notre situation

- Queue à pilote, queue à pilote, me fis-je crier dans les oreille

- Pilote à l'écoute

- Nous sommes suivis de près par quatre 109. Ils nous tailguette, depuis quelques minutes et dire beaucoup

- Parfait, merci  pour l'information. Pilote Roger

Je fis quelque manoeuvre mais mon avion est très gros. C'est un Boeing Liberator, on est plus gros qu'il y a sur le marcher et très difficile à piloter mais on s'en sort. Je vois qu'il va avoir de mes amis Spitfire vont passer à l'attaque sur les avions ennemis à l'arrière.

J'esquive des avions et je sens qu'on tire dans tous les sens. Puis, avec surprise, un bout d'aile du côté droit explose. Je me force d'atterrir dans la Terre anglaise pour limiter les dégâts de perte et de vie. Tout le monde s'accroche et on se sert les dents. 

Quelques rebonds et on atterrie finalement de cette action. Je sens de la fumer et le feu se propager, j'ouvre donc ma vitre de cockpit pis je saute dans l'herbe. Je commence à crier pour savoir si tout le monde est sorti mais je vois personne. 

L'adrénaline commence à monter en moi, je commence à courir pour voir le côté gauche vite avant que le feu se propage vers là. J'aperçoit que personne est sorti et donc je donne des coups de pieds sur la serrure pour la forcer et je vois Luke et le caméraman sortir en chenille et en toussant. 

J'en prend un par un pour l'éloigner et par le temps que j'arrive vers l'autre Nathan le prends à ma place : 

- Il manque Kevin !! leur fais remarquai-je

-Non n'y va pas Val!!! me cria Luke entre des tousses 

Je me dirigeais pareil vers l'intérieur mais le feu manqua de me prendre le visage que j'ai du reculer. 

J'ai très vite réalisé que c'était fini pour Kevin, mon très cher ami qui m'a accompagné depuis le début. Il était un OG de l'équipe et le perdre me fit un gros trait dans mon coeur. Quelque l'arme ont commencé à couler puis l'équipe d'incendie militaire commença son arrosage pour réduire les dégâts.  Une équipe de soin aussi s'occupa de nous pour savoir si on était blessé. Tout ce que je me souvenu après les questions des médecins est que j'ai perdu connaissance et qu'on m'a essayé de me relever 



L'escadron 39Où les histoires vivent. Découvrez maintenant