Chapitre 6

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Le samedi sa toujours était une journée que j'ai apprécier dans tout ma vie, une journée où ont peut se permettre le repos sans stresser pour les cours. Mais malgré ça, je passé mon après-midi à réfléchir à ma discussion avec ma professeur de droits et science criminelle. Mes yeux plongé dans le blanc de mon plafond, j'entendais sa voix m'annoncer l'avenir que je fantasmer depuis des années, sa main caresser la mienne ... Je levis celle-ci pour la regarder et, fronçant des sourcils, je me posa la question de pourquoi sa caresse m'avais tant marqué.

Je devait bien l'avouer sa main était douce, légèrement froide au touché mais pas désagréable ... La sonnette de ma porte d'entrée me sortie de mes pensées intimes, me demandant qui venait sonner chez moi en plein samedi après-midi. Grommelant d'un pas lasse, j'ouvris et tomba nez à nez avec un livreur impatient d'en finir et qui me tendit une feuille froisser.

"Signez ici" Alors déjà il me prive de mes minutes de repos mais en plus et me respecte pas ? Je vais pas me gêner à lui pourrir sa journée tien, il aura une raison de râler.

"Messieurs, avant de m'agresser avec votre ... Je jette un regard méprisant à sa feuille.  Feuille  ? Je souhaite savoir l'origine de se colis" L'homme souffla.

- Quesque j'en sait moi ?

- Vôtre travaille exige que vous soyez toujours accompagné d'une feuille avec les départ et la destination du colis et de qui est l'envoyeur

- Ont s'en fou sinon ? signé juste et vous serez c'est quoi vôtre colis"

C'était mal barré l'homme était aussi têtu que moi et je sentait en moi une pulsion sadique de le provoquer et de le faire chuter dans sa bêtise. C'est ainsi que pendant 10 minutes je me pris la tête avec ce livreur qui, maintenant, refuser de me donné le colis.

- Je peut porté plainte si vous le souhaiter, sa serai dommage de vous faire comme ennemie une femme quasiment avocate. Un sourire sadique apparut sur mon visage, remarquant une Mercedes s'arrêter derrière le camion du livreur et claxonner pour qu'il se déplace. Elle me rappeler étrangement la voiture de Madame Adler. Je reporte mon attention sur l'homme qui me cracha  :

- Quasiment donc pas avocate, je n'ai pas peur de vous, vous n'avez aucune preuves ! Donc démerdez vous, moi je me casse !

Je me mis à rigoler  doucement, irritant l'homme qui se retourna à nouveau vers moi pour une nouvelle  insulte mais remarquant que je tenait un téléphone à la main où j'avais activé mon micro il se tue.

Son visage rouge vira au blanc et il jeta de rage le colis par terre avant de le piétinait à grand coup de pieds. La voiture un peu plus loin c'était arrêter de claxonner et baissa sa vitre pour que le conducteur puisse en toute impunité suivre cette scène de ménage qui s'offrait à lui. 

L'homme repartis en râlant et élevant la voix je lui déclare :

A bientôt au tribunal ! J'espère que vous allez garder votre magnifique humeur !

Des noms d'oiseaux fusèrent dans l'air pendant quelques minutes avant que le livreur partis en trombe de la rue où j'habiter. Le calme si serein que connaissais cette rue des peupliers revint en quelques secondes, les voisins rentrant chez eux, les enfants reprenant leur activité oubliant se qui venait de se passer. Je sentie l'air frais me caresser le visage, une mèche de cheveux me chatouillant  la joue avant de constater que la Mercedes était toujours garé avec sa vitre baissé. Il me voulait quoi lui ? Je décida de me rapprocher de la voiture me demandant pourquoi elle partait pas après avoir klaxonner pendant 10 minutes pour avancer.

Je me penche légèrement en avant et pensa que le léger vent qui c'était levée était vraiment la bienvenu sur ma peau nue avec ce débardeur, oui serte froide mais agréable. La femme se pencha aussi pour me voir et que tu fut ma stupéfaction en reconnaisant Madame Adler, le regard fixé sur moi et un léger sourire flottant sur ces lèvres.

"- Madame Adler ?? Que faite-vous là ?? Pour moi c'était impossible que le assart fasse que comme par magie, la professeur qui me fesait des frisson électrique dans tout mon corps ou même que je trouver sublime, se trouve dans ma rue, devant chez moi sans aucune raison apparante.

-Je passer par là, Astra. Le assart fait que j'ai du vous voir vous amuser sur un livreur et moi perdre du temps sur mon rendez-vous privé. Soit dit en passant, très belle entrainnement."

Nous nous regardons en silence, me demandant si je devait m'excuser de lui avoir fait louper son rendez-vous ou ... comme la petite voix me demander, l'invitée chez moi temps qu'on y est. J'opta rapidement pour la deuxième solution, lui lançant un sourire séducteur.

"- Vous voulez rentrez boire un coup ?

Attend quoi ?! J'ai dit quoi ?! Putain je voulait pas faire ça ! Oui certe j'avais un léger manque en se moment mais pas ta professeur Astra ! Je souffla exaspéré de moi même et entendit une porte s'ouvrir et se renfermer avant de sentir une main rassurante, légèrement froide se posé sur mon bras. Je leva la tête vers elle, la boule au ventre de recevoir une remontrance de sa part.

"- Avec grand plaisir"

J'étais abasourdie. Je la regarda étonner mais celle-ci avait l'air totalement sérieuse et prise dans mon propre piège je lui fit signe de me suivre jusqu'à mon salon où elle s'installa sur un de mes siège. Elle regarda autour d'elle, curieuse de ma vie privée de jeune fille discrète et perfectioniste. 

"-Très beau tableau. Elle me désigna un dessin que j'avais encadrer en grand représentant un champs de bataille entre clans samourai.

-Merci, que voulait boire ? Chaud ou froid ? ou ... Fort ? J'écouter ma voix intérieur maintenant que j'avais les deux pieds dans le plat et décida de continua dans ma lancé. Après tout je lui propose de boire un verre en toute amitié et pour la remercier de me proposer son aide.

-Un verre de vin rouge ? "

Je la regarde un instant pour déterminé quel vin rouge lui irai car oui mon père m'avait bien appris une chose c'est les vins ! Je partie un instant dans ma cuisine chercher dans mon frigo a vin et sortie un Eolithe Chateau de fosse qui collé parfaitement à son image d'avocate à l'aura glacial. Les verres servie, je m'installa devant elle et attendit sa degustation pour voir son expréssion quand ces lèvres si .... parfaite ? toucherai la robe rouge du vin.

Cette instant dura une éternité pour ma part et fixant avec fascination sa délicatesse pour prendre le verre ou même de le boire les mots m'en manqué. La première gorgé fut bue et son étonnement se vit dans son regard.

"-Vous avez du goût en terme de vin Dutancour

-Je vous en remercie Madame, heureuse que celui-ci vous plaise"

C'est ainsi que bonne heure passa avec ma professeur à discuter de la vie, jamais je n'aurais pensé qu'un jour, la fille discrète que j'était aller offrir un verre de vin à une de mes professeur de son envergure. Je devait bien l'avouer sa compagnie m'était agréable, son parfum si délicat, son regard si bleu ... Perdu dans mes pensées je n'avait pas vue qu'elle m'avait posé une question, trop concentré à la dévoré du regard elle me lanca un léger sourire que je savait pas interpréter.

"-Faite attention à votre language non verbale Astra, vous pensé plus fort que vos paroles

-Pardon ?

-Je vous voie me dévoré du regard depuis mon arrivée, que vous arrive t'il ? vous avez jamais vue une professeur de si près ? Votre copain vous manque t'il a se point que vous voulez me sautez dessus ?"

Alors là c'est le ponpon ! je suis grillé de archi grillé ... J'était tétanisé, les muscles de tout mon corps était contraté prêts à fuir à mon top départ mais c'étais chez moi et ont nne fui pas de chez soi ... Bref je décide d'opter pour un changement de sujet radical :

"-Je n'ai pas de petit-ami je n'ai pas le temps pour l'amour. Mon avenir est plus important si vous voyez se que je veut dire. Mon regard encré dans le sien je pesé chaque mots que je prononcé avec diplomatie mais le sien se fesait plus brillant, pourtant je n'avait rien dit d'extraordinaire ...

- J'ai dit quelques chose de déplacer ? Je me sentait paniqué, stresser de sa réponse.

-Non au contraire je suis satisfaite de votre réponse"

Madame Adler // TOME I (Correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant