Madame Adler // TOME I (Correction)

Chapitre 18 "Faisons un marché"

J'était arrivé chez moi, un bouquet de fleur à la main pour me faire pardonner à l'ancienne mais je ne trouva que mon lieu de vide d'activité. Je m'avance lentement dans la maison, un pincement au cœur, vers le salon où j'espérer voir Emy et sa joie de vivre me sauter dans les bras. C'est le salon froid et éteint, seulement éclairé par le crépuscule que je fut accueilli en lâche. C'était mieux ainsi, sa me permettrai de me préparer mentalement à deux choses ; Parler a Emy et confronté Katarina.

La sonnerie de mon téléphone chanta le doux son de Sweater Weather qui me réveilla de ce rêve qui ne l'ai pas, de cette séance de torture que m'avais crée mon cerveau. Je me frotte les yeux et m'étira avant d'éteindre la musique. Je partie directement m'habiller avec des vêtements basique pour un hiver dans une fac et sachant que je ne passé aucun oral aujourd'hui. Un sweet au style japonais et un jogging noir fera l'affaire pour moi aujourd'hui, j'était si épuisée ...

Pendant que je chercher quelque chose à manger, je tenta en vain de me souvenir de ce fameux rêve. Seulement des souvenirs flou qui s'effacer au fur et à mesure que je réfléchissait avant d'abandonner dans un râle de désespoir. Une barre de céréale et un café noir plus tard me voilà en direction de mon jugement, je savait bien que les deux femmes m'attendait et que je devait faire un choix. Emy n'ai pas une fille bête au contraire, son départ était le simple message qu'elle avait compris que j'était plus sûr de mes sentiments et que malgré tout ces efforts elle ne pouvais rien faire. Je sourie tristement devant les grilles ouverte et rentra sans remarquer Marine qui me fessait de grand signe tel une cinglé. 

- Astra lève les yeux ptn ! On dirai une morte !

Je la regarde enfin et la vit bien plus heureuse qu'à son habitude me faisant froncé des sourcils. Mon geste la fit rougir d'un coup n'arrangeant pas son cas et je la pointa du doigt :

- Toi ... un sourire malicieux apparut sur mes lèvres. Toi tu la fait !

C'est vrai que Marine n'était pas une grande séductrice mais trop timide pour un coup d'un soir, je comprenais sa joie à l'instant présent et de me le partager.

- Chuuuuuut !

Elle sauta sur place tel une enfant se qui me fit rigoler à nouveau, heureusement que Marine était la pour me sauver de mon mauvais mood. Toute les deux nous nous dirigions vers la cafétaria où elle me raconta toute son aventure amoureuse en cadeaux de Nöel et pour ma part je lui raconta la catastrophe familiale que j'ai eu le droit d'avoir.

- Tu avais raison Astra, les repas de famille c'est pas vôtre fort.

La sonnerie retentit et nous partions chacune de nôtre coté pour les cours où je mourue d'ennuie avec les relations international. Puis j'ai enchainer du droit public avec un travail de groupe en 2 heures ! 

Je souffle exaspéré sans bouger mon cul pour faire un effort et deux filles et un garçon se présentèrent à moi.

- Salut Astra je sait pas si tu nous connais mais moi c'est Lucile, elle c'est Vi et l'autre débile c'est Robin ...

Un blanc s'installa entre nous, les regardant un par un en détailles, s'avant pertinament très bien que j'aller les oublié très vite. 

- Euuu tu ... Tu veut faire le travaille avec nous ? 

Woaw temps d'hésitation pour une chose si simple ! Une chose était sûr c'est que je les intimider, pourquoi ? aucune idée.

- Biensûre installez vous !

Je leur servie un sourire chalereux et fit de la place sur les bureaux d'a coté. Lucile se mis en face de moi pendant que Robin s'installer en silence a ma gauche; Vi me regarda un petit moment, hésitante à m'adresser la parole.