Madame Adler // TOME I (Correction)

Chapitre 12 "Un faux bond"

Le bruits des talons que je redouter tant, arriver vers moi avec ce claquement que je connaissait si bien, si bien qui me procuré des frisons dans tout le corps. Je ferme les yeux, me concentrant sur ma respiration et compta les pas. Soudainement je fronce les sourcils en les entendants passer à coté de moi et puis s'éloigner pour se diriger plus loin dans la salle. Je tourne la tête interloquer, et la vit s'assoir à une table plus tranquille où elle commanda avec assurance sans même regarder la carte. 

- C'est une habituer des lieux ... Cette phrase s'échappa dans un murmure de ma bouche, assez pour que Marine entende.

- Tu veut qu'ont parte ? Je suis sûr qui a d'autre bar. Elle me regarder inquiète, me voyant troublé par la seule présence de cette femme qui me fessait souffrir. A cause d'elle ont lisez en moi comme dans un livre ouvert.

- Non. J'aller pas la fuir éternellement

C'est comme ça que j'ai pu lui expliquer à voix basse la situation avec ma professeur, se que je ressentait et surtout mon incompréhension. 

- Tu sais Astra un jour tu ma dit "Pourquoi ne pas frôlé le danger si la vie n'en vaut pas la peine d'être vécu à fond  ?" Depuis j'ai toujours foncé dans mes projets. C'est à mon tour aujourd'hui, de te dire de foncé, écoute ton cœur et puis pour Emy ... Elle s'en remettra.

Je fronce des sourcil face à cette vérité, j'était amoureuse de Katarina c'était sûr mais j'avait peur et Marine avait raison sa me ressembler pas. Mes pensées furent coupé par mon amie qui se levée et prenait son sac.

- Aller je te laisse moi j'ai des choses à faire à toi de voir si ta le courage de la confronté

Sur ces mots elle s'en alla me laissant face à se que je redouter le plus. Je regarda la serveuse et lui fit comprendre que je souhaiter recommandait quelque chose au près d'elle un autre smoothie mais qu'elle déposera en face de Madame  Adler. Elle chercha pas à comprendra et partie faire son travaille me laissant prendre une grande respiration et me levé pour me diriger vers sa table un peu plus loin.

Elle m'avait pas encore remarquer et fut étonner en me voyant m'installer devant elle avec un calme tranquille et croisant mes jambes, la regarda droit dans les yeux.

- Dutancour que faite-vous ici ? Sa voix trahissait sa nervosité me donnant un point d'avance sur ce combat. 

- Je suis ici pour discuter de ce qui passé Kat Oui je suis pleine d'audace soudainement, je venait officiellement, de lui donné un surnom sans autorisation à ma professeur. Elle osa un sourcil au surnom et secoua la tête.

-Vous m'avez déjà tout dit et c'est ma faute. Je n'aurait jamais dû vous faire ça ... Sa me ressemble pas et j'en suis sincèrement désoler.

C'était à mon tour d'être perdu, comment se fait t'il que mon dragon baisser déjà la tête face  à moi ? J'était perdu dans mes pensées, sentant en moi une tristesse immense à cette annonce et le smoothie coupa court à celle-ci. Je regarde la serveuse pour la remercier gentiment et elle me répondit avec un sourire que j'interpréta de polie pour ma part, mais Katrina ne le pris pas comme ça et la chasse d'un geste accompagné d'un regard noir. Je vit la jeune fille fuir, le regard vers le bas, derrière le bar à la recherche d'un client dans le besoin.

- Vous êtes en couple mais sa vous empêche pas de draguer tout sur le passage.

Sa voix était dur presque colérique et son regard maintenant fixé dans le mien me montré toute la haine qu'elle éprouva à mon égard à l'instant présent. Concrètement je pris peur, je me préparer déjà à recevoir une gifle de sa part mais une gifle monumental mais rien.

- Je ne comprend pas vôtre réaction ... Je n'avait aucune l'envie de la draguer j'était la pour vous dire .. Elle me coupa d'un geste de la main 

- Je sais je sais, sa n'aurait jamais du ce passé ainsi et je m'en excuse maintenant veuillez m'excusez mais j'ai des courses à faire.

Je n'eu pas le temps de lui dire que je l'aimer ... Qu'elle hantais mes pensées à chaque instant, qu'elle partais déjà, son manteau sur les épaules. Je la trouver si belle ... et son caractère de merde je le voulait rien que pour moi ! Je me lève en laissant rapidement un billet sur la table et courue vers la sortie pour la rattraper, je me sentais comme dans ces fin de film d'un amour tragique où le héro décide de tout lâcher pour vivre une histoire d'amour passionnel, courant à en perdre haleine dans les rues de Paris. Je regarde autour de moi et ne la vit pas, putain elle est rapide ! J'écoute mon instinct et fonça à droite, manquant de renverser quelques passant au passage sans pour autant m'excuser. Je courue bien 10 minutes avant de m'arrêter face à un parc. J'était épuisée mais surtout déprimer, je ne retrouverai jamais sa trace dans une ville comme ça et maintenant elle avait fait un trait sur moi ... Fini les provocation entre nous, fini son doux parfum et son regard de glace ... Je me mit à marcher machinalement dans le parc pour retrouver mon souffle et profiter de l'ombre qui régnait sur ces lieux. J'adore les parcs, je prenait toujours le temps de lever la tête et d'admirer la végatation où même le son de la vie. Le bruissement des feuilles au vent, un enfant qui coure dans un petit ruisseau, un oiseau qui chante ... Je m'arrêta seule, dans une allée et ferma les yeux pour profité de se repos après se tourbillons d'émotions dans ma pauvre tête. Pas de feuilles qui bruissent, pas d'enfant, rien que le froid mordant de l'hiver.

Soudainement j'entendit une personne, pour être plus précise j'entendait des pleures, je me retourne vers la source de ce chagrin et vit avec effroi Madame Adler, seule, sur un banc qui pleuré, cacher entre deux forêt de bambou. J'avança d'un pas mais le reste de mon corps refusa d'obtempérer préférant la fuite à la compassion.  Cette réaction venant de moi, me frustré énormément; comment je pouvait devenir une bonne avocate si je ne pouvait même pas réconforter et aider autrui ? Je me sentait perdu, le corp tétaniser à l'idée de faire un pas de plus. Alors de longues minutes passèrent où je vit Madame Adler pleuré en toute discrétion seule sur un banc, entouré par le froid. Puis elle releva la tête, réalisant qu'elle n'était surement pas seule. Son regard bleu croisa le mien, nous mélangeant dans un torrent d'émotion négatives et positive. Elle avait l'air soulager de ma voir mais craintive et je savait très que son état actuel était de ma faute, mais que faire ? Je regarde autour de moi, réfléchit longuement et écouta non ma voix intérieur mais mon instinct et recula d'un pas l'air désoler.

Son sombre regard brilla de supplice mais je ne pouvait pas me permettre de me dévier de mon rêve. Je lui murmura alors un simple je t'aime dans l'espoir que le vent lui murmure à l'oreille. Elle me sourie, heureuse de mon message et décrocha son regard pour le porté sur sa montre. J'en avait profité pour m'éclipsé bien décider à réussir mes études de droit, de me débarrasser de mon stupide repas de famille et si je le peu aimé Madame Adler.   

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Bonjour et bonsoir tout le monde encore désoler du retard mais je pense que vous avez l'habitude puis ne voyant aucune notifs de votre pars pour une suite je me dit que sa peut bien attendre ^^ Bref j'espère comme d'habitudes que sa vous plait toujours autant et que vous avez hâte certes en silence de la suite de cette Astra :)

Vue que j'ai une semaine de vacances je pense essayer de vous faire un chapitre dans le weekend ^^