Chapitre 22 "Le stage"

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" Ma chère et douce Astra, je sait que mes mots ne serons jamais assez pour apaiser ta colère et pourtant me voilà à t'écrire une lettre à l'aube de mon départ. Vanessa t'aura surement expliquer toute l'histoire et juste l'idée de te tourné le dos pour un homme que je n'aime pas me répugne énormément mais nous ne pouvons pas changer notre destin. Je me souviens encore de la première fois où j'ai croisé ton regard magnifique, remplie de curiosité et de défie à mon égard. Qui es tu ? Tu ma toujours fasciner Astra, rien que ton prénom me disait que tu me laisserai pas intacte après toute cette souffrance. J'aurai aimé te dire, un jour, avec toute la sincérité du monde, que je pouvait lire en toi comme un livre ouvert mais c'était juste impossible. Tu laissait passé seulement les émotions que tu souhaiter transparêtre et j'ai foncé tête baissé dans un mur de glace. Vanessa m'avait prévenu que tapé contre un mur aussi solide me ferai plus de mal qu'autre chose, mais je l'ai fait. En écrivant ces mots je t'ouvre mon véritable moi, cette femme à la recherche du bonheur tout en fuyant le passé. Je voulait vraiment t'aider à passé ce foutu diplôme de droit et te voir t'épanouir où je n'ai su l'être, tu es comme une colombe en cage et je donner mon maximum pour en trouver la clé. Tu sais, je l'ai jamais trouver. Parce que tu la garder sur toi cette clé, tu t'es emprisonner toute seule et tu ma laisser l'entrevoir cette nuit là ... Tu t'en souviens ? C'est là que j'ai compris que c'était toi et seulement toi que je voulait, ironique non ? Une dragonne qui tombe amoureuse d'une colombe ... Tu es surement la femme la plus forte que j'ai pu croisé de ma vie, tu ma défié comme personne la fait jusqu'à présent, et tu ma plus Astra Dutancour. Oui, je t'aime et ça, pour l'éternité ... Je suis désolé d'avoir sombré si vite, d'avoir essayer m'endormir éternellement, d'avoir essayer de brisé le destin. La dernier souvenir que j'ai de toi, c'est de t'avoir sentie me serré si fort contre toi en me suppliant d'ouvrir les yeux, mais je n'y arrivé pas, je me noyer dans des ténèbres et j'avais beau tendre la main vers la surface que je coulé encore et encore jusqu'à ne plus te sentir et t'entendre. Après je pouvait entendre des bribes de conversation dans mon rêve infinie, surtout Vanessa qui me donné des nouvelles de toi, qui m'attendais à en mourir. Au moment où tu lie cette lettre tu devrais me voué une haine intense que je mérite bien certainement mais ne cherche pas à me retrouver directement s'il te plaît tu ne ferait que repousser la ligne de front. Je veut que tu es ton diplôme et que tu continue ta vie avec cette même audace qui t'animé à défié le monde. Gâche pas ta vie pour moi ... "

Les lettres suivantes était les mêmes ... Après avoir pleuré une bonne partie de la soirée seule dans la chambre, j'essayait de me levait mais ne trouver aucunement la force. Elle était en vie ... Je ne rêver pas et elle était quelque part en Allemagne.

Mon poing se serra si fort que je remarqua pas toute suite le sang dégouliner le long de mon poignet pour atterrir sur le sol. Je regarder cette situation d'un air vide, un air perdu sans ressentir la moindre douleur de mes ongles enfoncer dans ma chaire. Une voix me disait de partir à sa rescousse abandonnant tout sur mon passage seulement pour elle mais une autre voix, surement la bonne conscience me dit de respecter son choix et d'attendre un peu, le temps de finir mes études. Mon regard fixé sur les tâches de sang au sol je me résigner de devoir l'oublier le temps de quelques années pour me concentré sur ce putain diplôme qu'elle veut tant que je passe...

Quelqu'un toqua soudainement à la porte avant de me laisser entrapercevoir Vi qui me jeta un regard inquiet à la vue de ma main, mais fit comme rien. Merci Vi de me comprendre.

"- Vient manger, au moins un peu ok ?"

Sa voix douce qui trahissait son inquiétude me fit sourire et fermant les yeux une dernière fois je me força à encré l'image de Katarina dans ma tête à jamais. Car ont le sait très bien ... Je la reverrai plus jamais.

Madame Adler // TOME I (Correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant