Chapitre 13 "Retrouvaille Familiale"

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Une chose que j'aimais quand je prenais le train, c'était d'un le côté fenêtre pour regarder le paysage défiler comme une vie qui se défile, mais en deuxième, c'est le calme des wagons business. Je devais bien l'avouer, je m'étais fait un petit plaisir pour se voyager en direction de la corvée de Noël que je devais subir pour quelques jours. Nous étions le 24 décembre, il était 7 h 21 du matin et la neige s'intensifier au fur et à mesure que je me rapprochais de Strasbourg et oui mes parents sont de là-bas et surtout j'y suis née, en fait non, je suis née en Allemagne pendant leur vacance en Bavière mais vous avez compris.

Le doux cliquetis du TGV et ces légers virages me firent dormir pendant 20 minutes avant d'être réveillé par la voix grisaillant du conducteur ferroviaire, nous annonçant notre arrivée en gare. Je regardais par la fenêtre et priai d'avance que ma mère ne soit pas là à m'attendre comme si j'avais 10 ans pour après me harceler de questions sur ma vie privée. Oui, je ne portais pas ma mère dans mon cœur depuis certaines choses du passé, mais je fessais en sorte de ne pas la blesser pour autant. Le quai débordé de retrouvailles, de cris de joie, ainsi que les roulettes des valises qui crissait sur le dallage. Je m'efforçais de fuir ce tumulte qui m'assourdissait la tête et ne vit pas ma mère dans toute cette foule, enfin, elle avait compris après plusieurs années d'altercation entre nous. L'air froid de la ville avait geler l'humidité des trottoirs, des routes, et même, j'en perdis mes doigts en regrettant mes gants en cuir, rester au chaud à la maison. 

Une déneigeuse passa me sortant de mes pensées, je serrai le poignet du sac de voyage que je portais et partis en partie en direction de la ligne de taxis qui attendaient de possibles clients.

Deux coups de sonnette retentir longuement avant que la porte en bois s'ouvrir sur mon frère le visage souriant.

- C'est ma petite Astra que voilà ! Je n'eus pas le temps de lui répondre que mon mastodonte de frère avec sa tignasse châtain et ses yeux bleu, me captura dans ses bras et me souleva de terre comme si il portait une plume.

- Lucky ... Tu, tu m'étouffe !

Mon frère me lâcha avec regret mais captura mon visage en me scruta de part et d'autre.

- Tu grandie trop vite ! Dit-il l'air faussement ému.

Je remis mes vêtements en place et nous restons sur le pairons de la porte à raconter nos vie depuis qu'ont se voyait plus. Nous étions très peu communicatifs par les réseaux sociaux, mais ça ne voulait pas dire que l'on ne s'aimait pas, au contraire !

La mégère arriva pour briser notre moment avec ces "Ferme la porte, tu vas attraper froid" ou encore "rentre bon sang, ne soit pas timide !" Euh bonjour déjà non ? Mon frère me prit la main pour fuir dans le salon, mon sac toujours à la main et me montra mon père, toujours le même, à versé 3 verres de son Whisky préférer avant de levé son regard sur moi et me juger l'air sérieux. Après son examen complet, il me tendit un verre vers moi et nous trinquons dans le silence respectueux entre nous avant qu'il ne soit brisé par une femme excentrique à la robe rouge aux nuance violette, stressé comme chaque année par tout élément familiale qu'elle avait le don de gâcher ... Je ne sais pas comment mon père, Victor, pouvait la supporter, il avait surement un secret, un bouton off sur elle que seul lui connaissait l'emplacement si convoiter par le reste de la famille. Nous prenions sur nous et l'écoutâmes l'oreille attentive à ces jacassements jusqu'au moment du repas où chacun discuter de ce qui fessait aujourd'hui.

Mon père fidèle à lui-même raconta avec fierté la fabrication d'un chalet dans le jardin pour un faire un bureau extérieur à ma mère en disant, je cite "Pour qu'elle profite du calme de la nature". Un sourire de ma part et nous compriment la véritable raison de cette construction soudaine. Tant mieux je dirais, car elle avait l'air enjouée de pouvoir y travailler tranquillement pour ces rédactions de journal. Oui ma mère travaillée pour un journal local de la ville dans lequel elle y écrivait, de souvenir, des tutos jardinage pour tout niveau.

Le repas du midi se passa relativement en paix, gardant les sujets de discussion majeure pour le soir, j'avais fini par m'affaler sur mon lit d'enfance que ma mère avait eu la joie de garder intacte ... La même décoration de groupes de K-Pop qui aujourd'hui m'assourdissait la tête de leurs chansons, n'avait pas bougé de place. Pas une poussière ! Je souffle à peine exaspérer et ferma les yeux pour me reposé un instant mais je vit seulement la femme qui autant mes rêves à chaque fois, ainsi que son parfum qui me chatouiller à chaque fois l'odorat. J'étais dans un sommeil si profond que je n'entendis pas le réveil sonné et la nuit avait déjà commencé à s'installer.

Je me lève d'un bond, en sueur à la seule idée des réflexions que j'allais avoir le droit de la part de cette femme qui m'énervait tant depuis mon indépendance. J'allume mon téléphone pour regarder pendant un court instant mes messages ainsi que mes mails et vis à mon grand malheur un message de la fac de la part de Madame Adler qui nous demandait à tous de préparer un débat sur un sujet qu'on voudrait défendre. Je souffle énerver et verrouille mon téléphone pour me préparer pour ce soir, car évidemment, le soir de Noël dit tenu un peu plus chic.

Je savait très bien quoi porté, détestant les robes, je m'étais pas embêter j'avais pris une tenu pour les débats avec Madame Adler qui étais une chemise blanche et un pantalon noir, le classique mais sa rate jamais. Un peu de parfum et le tour et joué !

La table étais mise avec une longue nappe rouge et son argenterie la rendais splendide. Des verres en cristaux briller à la lueurs des flammes de la cheminé et une musique festive enivré la pièce de chants de Noël. Je trouver mon père et mon frère en pleine discutions un peu plus loin et voulant les rejoindre ma mère s'interposa le regard noir. 

- Ta vue l'heure ?! Siffla t'elle 

Je garda mon calme, me remémora tout les cours d'éloquence et répondit :

- Oui, j'ai vue l'heure. Non je ne compter pas m'excuser d'être fatiguer de toujours travailler.

Ma réponse ne lui plus guère et j'eu le droit à un éclat de fureur. Non maman désoler je supporte aujourd'hui un dragon noir beaucoup plus féroce que toi, c'est pas comme ça que tu va me faire fléchir.

Je la dépasse calmement et sourie aux hommes de la maison, un sourie non caché de mon frère.

- Astra c'est quoi cette tenu ?

Je souffle et mon père repris le relai avant de me voir explosé:

- Une tenu qui convient parfaitement à une futur avocate, tu ne trouve pas chérie ?

Je me retourne souriante et vit ma mère perturber qui répond en hochant la tête :

-Effectivement ! Mais je lui voyait plus une robe pour Noël et pas une tenu de travaille ... Elle fit la moue et mon père argumenta.

- Tu sais bien qu'il faut pas la forcé liliane.

La conversation était close et l'ambiance festive repris son cours avec un repas copieux et du vin de qualité. Mon père rester le même après toute ces années ... Soudainement la question fatidique arriva brisant toute joie.

-Alors Victor ? Tu as trouver une petite copine ? Mon frère se raidit en face de moi et je lui jeta un coup d'œil curieuse, je savait très bien qu'il préférer les hommes, je l'avais deviner très vite mais ni lui ni moi avant annoncer à nos parents nos penchants. 

-Oui je suis avec quelqu'un maman 

- Alors pourquoi ce silence avant ta réponse ? Tu as peur que je l'accepte pas ? Tu sais tant que j'ai des petits enfants après ... 

Le paternel leva la main pour la coupé, le regard sérieux:

- C'est une femme ou un homme ?

La bombe était lâché.


Madame Adler // TOME I (Correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant