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..... Pendant ce temps où se trouvent ses parents .....

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M. Barry : Aissatou Tafsir Barry, je te parle

Aissatou : je vous ai épousé parce que je vous aimais déjà, acceptant tout mais il y'a des choses

M. Barry : tu me crois aussi fou que ça

Aissatou : avec mes frères ce n'est plus tellement ça depuis qu'ils sont mariés et que nos parents sont décédés, à plus forte raison leurs femmes qui m'en veulent à cause de notre fils

M. Barry : ils ne peuvent pas lui imposer leurs filles ou celles de leurs amis ou connaissance

Aissatou : je suis d'accord alors vous comprendrez que je ne peux pas permettre qu'on détruise mon unique fils, ce qui a été fait est plus que suffisant, difficilement on l'a récupéré

M. Barry : tu n'as plus à t'inquiéter pour lui, s'il plait à Dieu

Aissatou : vos autres fils aussi, ses propres frères !

M. Barry : Aissatou j'ai fais ce que j'ai pu, je ne peux pas faire plus

Aissatou : hum

M. Barry : tu sais que j'ai raison

Aissatou : vous les imaginez divisé à l'intérieur, l'occasion rêvé pour ceux du dehors

M. Barry : hum

Aissatou : je suis désolée de vous dire ça mais à part Ahmad Tidiane, les autres m'ont déçu, y compris mon homonyme car je ne lui ai jamais montré être chez vous pour détruire ses enfants.

- Je suis peut-être plus chaude de nature voire naïve mais je dis ce que je pense, c'est comme ça.

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la collant contre lui

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M. Barry : c'est moi que ça désole le plus sachant ma maison comme cela

Aissatou : oui, désolée

M. Barry : tu es tellement nerveuse que tu es devenue toute rouge (en sourire)

Aissatou : (rire) vous êtes aussi clair que moi donc pas besoin de vous moquer

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M. Barry Tanou : (sourire) je ne me moque pas

Aissatou : hum

M. Barry Tanou : je veux que tu restes tranquille d'accord, ton fils s'est enfin réveillé et puis il n'a jamais abandonner la prière, pas de stupéfiants ou encore abandon d'études donc remercie Dieu

Aissatou : oui mais j'ai peur quand même

M. Barry : je le sais, c'est normal en tant que mère mais soit reconnaissante

Aissatou : je le suis et je crois qu'il a raison, Assiatou est mieux chez ses parents surtout à son état

M. Barry : ne l'appuis pas dans ça Aissatou

Aissatou : c'est la vérité, désolée mais je n'ai plus confiance en votre femme

M . Barry : hum

Aissatou : c'est la vérité et je ne suis pas prête à courir ce risque

M. Barry : et moi alors, tu n'as plus confiance en moi

Aissatou : c'est elle la maitresse de maison, pas vous

ISRAIL et ASSIATOUOù les histoires vivent. Découvrez maintenant