... Du côté de Israël Cissé ...
.
toujours en pleine discussion avec ses parents et son frères, leurs femmes déjà retiré
.
Cheikh Ahmad : Myriam c'est ton fils et nulle n'est parfait
Myriam : nulle n'est parfait, nous pour commencer mais lui est partit trop loin, m'insulter à cause de sa femme qui m'a fait du tort en plus, je ne peux pas l'accepter !
.
au regard de ses fils, elle continuant presqu'au bord des larmes
.
- non seulement sa femme n'a aucun respect pour moi et ce jour-là je lui demande devant lui de m'aider à la cuisine, Maya étant absente et elle me sort être fatiguer et que des bonnes sont là pour ça n'étant pas entrée chez lui pour ces choses et c'était devant lui Youssouf !
Youssouf : Oummi je t'avais aider, c'est moi ton fils
Myriam : tu trouves normal qu'elle me parle de cette manière ou encore comment elle me salue ou même me regarde. Elle le fait comme si j'étais une poubelle alors que je t'ai porté 9 mois et si tu es le Youssouf d'aujourd'hui c'est parce que je t'ai elevé avec ton père.
Même pour Balguissa elle n'a pas de respect, celle qui a prit la relève pour ton éducation, l'unique soeur de lait de ton père mais c'est bien Youssouf.
Youssouf : hum
Myriam : c'est ce que j'ai dit ! Je peux comprendre que c'est ta femme et heureusement que mon mari est encore en vie et que ce n'est pas toi seule que j'ai enfanté, hamdoulillah !
Cheikh Ahmad : Myriam essaie de te calmer, ne le maudis pas par tes larmes
Myriam : je ne le fais pas mais ça m'a fait trop mal ! J'ai fait cette remarque depuis lors du mariage croyant que c'était la gêne au début mais je vois qu'elle avait d'autres intentions.
Youssouf : Excuse-moi Oummi
Myriam : je ne veux plus jamais te revoir de ma vie alors dès que tu auras finis libère chez moi pour ne plus y remettre pieds
Youssouf : Oummi, s'il te plait
Myriam : j'ai dis, libère chez moi ! Et ne t'inquiète pas, ma fille et moi n'allons plus jamais frapper ta femme à plus forte raison la faire avorter exprès étant contre elle.
Youssouf : hum
Myriam : c'est bien ce que tu as dis à kötö Moussa, t'y plaignant étant avant tout mon frère. Je n'ai jamais été une belle-mère sinon une mère, pour les maris de vos soeurs y comprit pour que toi tu oses ouvrir la bouche me dire que je fais ma sorcière avec ta femme préférant Hapsa parce qu'elle est la fille de mon frère et de ma soeur, ou encore la femme de Israël que je préfère en plus d'avoir de l'argent.
- Tu es partit trop loin Youssouf Cissé, beaucoup trop !
Youssouf : hum
Myriam : tous les mots que tu m'as lancé ici ce jour, si Israël n'était pas ici ou Hapsa que tu as malgré tout voulu agresser, tu aurais lever la main sur moi aussi mais merci.
Youssouf : Oummi
Myriam : va chercher une autre mère et libère chez moi parce que même si c'est chez ton père, ça reste mon mari et je suis encore en vie
Cheikh Ahmad : (calmement) Myriam
Myriam : je ne veux plus jamais le voir ici Baaba !
Youssouf : je m'en vais, je reviendrai plus tard lorsque tu seras plus calmé (tout en se levant)
VOUS LISEZ
ISRAIL et ASSIATOU
Roman d'amourUne union imposée, un amour né malgré tout. De quel type d'amour parle-t-on ? Finiront - il ensemble ?