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Salutations, contente de vous lire comme toujours ! Désolée de la tardiveté, le temps ne joue pas en ma faveur avec mes différentes occupations.

J'espère que vous vous portez bien avec vos proches et que la vie de tous les jours est un défi relevé pour vous par la grâce de Dieu, vous souhaitant le meilleur.

Bienvenue au nouveau !

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...Où se trouve Ismail Barry ...

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ayant rejoins sa femme à qui il expliqua, elle s'exclamant un oui directement

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Ismail : bien, je reviens

Djouldé : on ira avec Néné ?

Ismail : c'est ça

Djouldé : d'accord, ma mère m'a remis un complet comme contribution

Ismail : Néné me l'a dit et je l'ai déjà remercié

Djouldé : d'accord

Ismail : hum

Djouldé : je peux aller chez ma copine, Ismail ?

Ismail : vas-y mais je te veux ici avant le crépuscule

Djouldé : oui chéri pour moi

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lui faisant une bise en rire

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- bébé !

Ismail : (rire léger) ça ne prédit rien de bien, dis seulement

Djouldé : (rire) tout ce que je fais n'est pas bien

Ismail : combien tu veux ?

Djouldé : 10 mille franc seulement

Ismail : wallaye comme tu ne les cherche pas c'est pourquoi tu me dis seulement

Djouldé : mon mari travaille pour moi non

Ismail : oui mais il y'a aussi ta fille

Djouldé : je sais toi aussi mais c'est moi que tu as envoyé, bientôt elle sera chez son mari

Ismail : bientôt hein, que Dieu te rende tes facultés

Djouldé : c'est une manière de parler toi aussi ! Alors ?

Ismail : alors quoi ?

Djouldé : tu me donnes les 10 milles ?

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sortant l'argent de sa poche qu'il lui remit, sortant exprès l'autre billet de cinq mille qu'il remit

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- Ismail tu vas remettre ça dedans toi aussi !

Ismail : (rire) tu aimes trop l'argent Djouldé, sors d'ici

Djouldé : j'arrive, merci (en rire)

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Un peu plus tard, M. Barry Mohamad Tanou .

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Ayant raccroché avec son autre épouse qui l'avait appelé pour avoir de ses nouvelles, sa première après avoir taper à sa porte à qui il ouvrit

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M. Barry : oui

Aissatou : je venais demander ce que vous voulez pour dîner

ISRAIL et ASSIATOUOù les histoires vivent. Découvrez maintenant