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Contente de vous lire comme toujours !

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*** ISRAIL ***

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sa femme toujours sur lui de face, tête posée sur son épaule laissant coulé ses larmes, lui décidant de la laisser évacué, se disant nécessaire.

- Après qu'elle se soit calmée, tout en lui frottant légèrement le dos

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Israil : je te demande pardon de t'avoir fait pleurer

Aissatou : hum

Israil : Aicha

Aissatou : hunh

Israil : pardonne-moi, s'il te plaît

Aissatou : hum

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il fit en sorte qu'elle se détache de lui, se mains autour de ses hanches

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Israil : je sais que je suis très con parfois mais je t'aime ma Aicha

Aissatou : ne te confonds pas Israaïl, dis plutôt que je te plaît

Israil : je ne confond rien, je sais ce que je ressens

Aissatou : hum

Israil : je t'aime comme un fou, moi-même j'ai du mal à le croire

Aissatou : hum (le regardant)

Israil : c'est vrai que je l'ai aimé, elle Assia mais je suis tombé amoureux de toi, Aicha.

- Ne me demande le comment ni le pourquoi car moi-même je ne le sais pas. La seule chose dont je suis certain, est que je te veux dans ma vie pour le restant de mes jours et que j'ai envie de mettre le monde sous pieds.

Aissatou : je t'aime et cet amour commence à me faire souffrir

Israil : je te demande pardon mais crois une chose, c'est que je t'aime moi aussi.

- Je ne sais pas ce qui me prend devant Assia mais ce n'est pas de l'amour car Allah m'en ai témoin que je n'ai jamais ressenti même une seule fois l'envie de la serrer dans mes bras, de l'embrasser à plus forte raison et cela depuis qu'on venait de se marier

Aissatou : alors résiste, si tu dis m'aimer à ce point, bas-toi pour nous alors

Israil : oui et j'ai besoin de toi alors ne me lâche pas s'il te plaît sinon je risque de devenir fou

Aissatou : non

Israil : de toute façon, comme je te l'ai déjà dis, tu n'iras nulle part.

- Chez moi, c'est jusqu'à être ma veuve inch'Allah espérant partir en premier !

Aissatou : hum

Israil : pardonne-moi, N'Djouriaa, si

Aissatou : hunh !

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ils continuèrent à discuter, les choses évoluant par un baiser, s'embrassant longuement, terminant par faire l'amour

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*** ASSIATOU ***

restant en pleurs dans son salon après le départ de son mari. Après plusieurs minutes à pleurer, on sonna à la porte, elle de levant pour aller voir, apercevant ses beaux-parents.

Elle se pressa d'essuyer son visage puis ouvrit la porte

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Utah : (à son mari) je t'avais dit qu'il s'est passé quelque chose, je connais notre fils

ISRAIL et ASSIATOUOù les histoires vivent. Découvrez maintenant