ISRAIL et ASSIATOU

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Bonjour,

J'espère que vous vous portez bien avec vos proches.
Merci pour vos retours dans les commentaires et les likes, c'est toujours un plaisir de vous lire.

Bonne lecture !

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*** Le lendemain, Aissatou Cissé ***

Nima passer à la maison pour saluer ses parents qui étaient arrivés avec Abdoulaye Bah et les enfants.

Comme convenu devant passer chez elle pour voir certaines choses concernant le mariage, Nima décidant de ne pas reprendre le travail, se remettant encore de sa dépression.

Elle Aissatou décida de se mettre en route devant récupérer des documents pour Marwan pour les déposer chez ce dernier qui normalement devait l'attendre.

- Décrochant son téléphone qui sonnait, Marwan

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Aissatou : oui grand frère, je suis bientôt arrivée, désolée pour le retard

Marwan : non, tranquille. J'ai eu une urgence à l'hôpital où je me rends actuellement

Aissatou : tu veux que je t'y retrouve ?

Marwan : oui mais est-ce que tu peux passer récupérer le chargeur de mon téléphone avant et mon badge, je les ai oublié sur l'étagère. Nima et Oummi seront bientôt arrivées elles aussi.

Aissatou : d'accord, je t'apporte ça

Marwan : merci petite soeur, à toute à l'heure

Aissatou : oui !

***

Arrivée chez son frère, elle prit vite fait ce qu'elle cherchait sur le point de sortir, interpeller par des pleurs de Assiatou alors elle se dirigea vers sa chambre sans attendre.

Elle la trouva en train de se tordre de douleurs en pleurs, une grande serviette sur le sol, trempée.

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Aissatou : Assia !

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accourant vers elle

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Assiatou : ne me touche pas, aïe !

Aissatou : viens, je t'emmène à l'hôpital

Assiatou : je t'ai dit de ne pas me toucher ou bien tu veux me tuer. Ça ne t'as pas suffit de me prendre mon mari !

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dit-elle douloureuse et en cri, Myriam et Nima arrivées, interpellées par les cris

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Aissatou : pour ton information, j'appartiens au corps médical donc je suis dans l'obligation de t'assister

Assiatou : je m'en fou, ne me touche pas seulement sale traître !

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puis sans hésiter, elle lui mit une gifle

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- maintenant tu vas te calmer si tu ne veux pas d'une autre gifle, je reste ton aînée au cas où tu l'aurais oublié, insolente !

Assiatou : je ne te supporte pas et jamais tu ne seras une grande ... Aïe !

Aissatou : je m'en fiche, je t'emmène à l'hôpital que tu le veuilles ou non, c'est clair !

Myriam : (les interrompant) Aïcha, va dans la voiture, on va à l'hôpital !

Aissatou : oui, je vais appeler kötö Marwan pour lui dire