ILLUSION - 𝓑𝒶𝒿𝒾 𝓍 𝒪𝒸

𝑺 E N T I M E N T

SENTIMENT

𓆙

LE CHANT DES VOLAILLES M'EXTRAIT DE
ma songerie. Le soleil torride m'oblige à remettre en place la casquette que j'ai dû emprunter à Takashi, arrivé à destination, je descends à terme de la moto de Mikey qui s'était porté volontaire pour me reconquérir de cette chambre de patient. L'amie de Mikey est apparemment elle aussi au repos, après s'être précipité dans toute la forêt pour prévenir les gars de mon emplacement, elle s'est évanoui de fatigue. J'aime cette fille.

Après une semaine de repos au sein d'un hôpital que je haïssais au plus haut point, me voilà enfin chez moi. Je passe entre les batailles d'eau des enfants du district pour me retrouver en face de mon entrée. Laissant Mikey s'éclater avec les enfants, je pénétre ,sans temporiser, mon appartement.

Enfin.

— Votre impératrice est de retour, chers sujet, m'écrais-je dans le hall d'entré en écartant les bras.

Sans prendre garde, je sens un poing s'élancer sur ma joue.

— Mais ça va pas la tête ?!

— Tu mérites ! M'affirme le coupable qui n'est autre que Chifiyu.

Il s'apprête à argumenté son geste, mais c'est sans compter Emma qui dévale les marches pour lui sauter dessus.

— La proche fois sa sera pire, Menace t-elle en le laissant traîné au sol.

Elle pivote jusqu'à moi pour m'enlacer tendrement avec Hinata.

— Ont étaient morte de peur.

ELLIPSE

Une fois les retrouvaille faite, chacun retourne à ses occupations, les filles devait partir ainsi que Draken et Mikey. Ce qui fait qu'il ne reste plus que Chifiyu et Baji.

Comme toujours quoi.

— Rentrez chez vous sérieux... émit mon frère d'une voix plaintif.

— Arrête, on sait très bien que t'es content qu'ont reste. S'enquit le blond.

— Vous êtes à la rue ou quoi ?

Alors leur seule argument a était :

— Il est tard, j'ai pas envie de réveiller ma mère.

— Et moi je reste avec lui, parfois il fait des cauchemars, il a besoin de moi.

Aucune excuse n'est valable.

— Moi, je monte.

Je dévale les marches pour atterrir dans ma chambre, je prends Kira et m'installe dans mon lit.
Je reste dans cette position pendant quelques heures, persuadé que je réussirai à m'endormir mais rien. Chaque fois que ma perception se clôt, j'ai sans tarder l'esprit saturé de flashs terrifiant de l'autre jour. Ses mains sur moi ne veulent pas quitter ma pensée. J'ai juste envie de les exclure, de flamber mon épiderme pour les faire disperser et que toutes ses pensées ne soit que cendre. Les larmes parcours ma joues pour tomber sur ma mâchoire.