CHAPITRES 17: SOLEIL

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PDV NELLA,

Qu'est que cette situation signifie ? Qu'il va rester à mes côtés en pensant que je vais juste accepter cela ?

Impossible !

Ce cauchemar est donc sans fin...

- Tu m'as menacé, éclater la main, tirer dessus et

- Et toi tu essaye de me tuer depuis le premier jour ! Me coupa-t-il me rendant la poitrine encore plus serré qu'avant.

- Est-ce que tu connais, ne serait-ce qu'une seule personne encore vivante après m'avoir menacé ? Faisant mine de me laisser le temps de réfléchir, Personne ! Tu es la seule alors estime toi heureuse.

- MAIS J'AI MES RAISONS ! Criais-je désespérément tout en mordant ma lèvre pour éviter d'en dire trop.

Pourquoi je discute avec lui comme si cela allait nous mener quelque part.

Je n'arrive tout simplement pas à accepter qu'il ai raison. Je le sais bien que notre monde à nous deux est fait ainsi.

En temps normal, j'aurais dû mourir dès ce soir là où il a su que j'en avais après lui...

Je suis libre de mes mouvements mais je ne suis plus aussi bête. Je n'ai pour l'instant pas le pouvoir de le faire chuter.

Mais un jour viendra où j'aurais le dessus et j'attendrais ce jour paisiblement.

- Mais quelles sont tes raisons ? Je n'en vois aucune ! DIT LES MOI ! Cria-t-il à son tour.

C'était en train de se transformer petit à petit en règlement de compte.

Tout ce qu'on faisait c'était ce renvoyer la belle sur les erreurs que l'un avait commis sans qu'on ne comprennent pourquoi.

Ça n'as aucun sens.

- Et moi je te disais que je ne savais rien ! Re pointe encore une arme sur mon visage et je t'envoie direction l'enfer, affirmais-je comme si j'en avais la capacité.

- D'accord, d'accord...soupira-t-il comme toujours quand il fait croire qu'il laisse raison à quelqu'un, en relevant ses cheveux.

J'étais toujours sur cette chaise et lui c'était installé juste en face dans le coin de la pièce.

Il s'était posé tranquillement sur son cousin, mais il n'avait pas l'air prêt à dormir.

Non, au contraire il était plus éveillé que jamais et son attention ne me quittait pas une seule seconde.

Je lui relança son cousin dans sa direction sans tarder.

- Je n'en ai pas besoin et encore moins venant de toi !

Me levant de la chaise en prenant soin de m'installer dans le coin opposé au sien.

Putain de merde, il va finir par partir n'est-ce pas ? Il ne va pas rester collé à moi comme une sangsue...

Si je fais mine de dormir alors il quittera sûrement cette pièce pour dormir où bon lui semble.

- Tu ferais mieux de ne pas cligner des yeux, mourir étouffé dans son sommeil ça arrive plus souvent qu'on ne le pense, le menaçais-je en le fixant à son tour.

- Je te retourne le conseil.

Ouais, tu peux toujours causer...

Mon attention se tourna vers ma douleur que faisait ma main.

ARTHEMIS 07Où les histoires vivent. Découvrez maintenant