CHAPITRES 20: FANTOMES

624 38 142
                                    

PDV NELLA, 20h

Nous étions de retour et ce nouvel endroit me faisait encore bizarre.

Je n'arrive pas à me dire que l'autre belle villa dans laquelle j'étais enfermé n'était qu'un piège pour que ma mafia me retrouve...

Mais cette baraque me paraît tout de même mieux !

Elle est loin de tout et j'ai le sentiment d'être en sécurité.

Qu'est-ce que je raconte...si ça continue personne ne vas me retrouver et je ne vais jamais achevé ma mission.

Peu importe ! J'ai toute ma vie devant moi s'il le faut, il me peut me garder encore longtemps.

TOUJOURS POSITIVER !

- Petite humaine, je déteste quand on m'ignore ! Me fit part le démon, les sourcils fronçaient.

Rien que le fait qu'il m'appelle me donne mal à la tête...j'ai les oreilles qui bourdonne depuis notre retour.

Est-ce à cause des voitures et de tout ces bruits mouvementés durant la journée que je viens de découvrir ?

Mon attention se porta sur lui, alors qu'on était tous installés sur un genre de canapé si grand que tout mes ancêtres aurait pus s'asseoir dessus.

Lui, qui aime être le centre de tout, était positionné face à nous de sorte à ce qu'on l'écoute attentivement.

- Bien sur que j'écoute !

En vérité je n'avais pu qu'enregistrer là moitié, mon trouble de l'attention me perdra un jour.

- Très bien alors dispose de cette endroit comme bon te semble et demande à Stacy pour la chambre...soufflant une fumée dû à sa cigarette, et débrouille toi pour le reste c'est pas une garderie.

Quel enfoiré comme si j'avais besoin de lui pour faire quoi que ce soit !

- Et surtout ne cherche pas à t'enfuir, de toute façon le collier se déclencherait et je te retrouverais directement.

- Tu m'apprend rien, je le sais, répondis-je agacé.

Il souffla et disposa directement.

Bon voilà. Je fais quoi maintenant ?

Tous paraissait assez fatigué par cette journée dehors. Ray et Rinji étaient partis dès le moment où la phrase du démon était finie.

C'est vrai, ils sont chez eux donc ils font leur vie mais moi...

Qu'est-ce qu'on peut bien faire quand on est enfin libre ?

Assise, les yeux rabattus sur tout ce qu'il y avait dans ce salon, mon regard se figea sur un tableau.

Les mêmes qu'il y avait dans l'autre villa !

Mise à part la taille de cette nouvelle endroit, c'est vrai que l'esprit reste le même. Esprit démoniaque comme son propriétaire...

- Nella ! Viens je vais te montrer ta chambre.

Stacy tu me sauve la vie tout le temps ma belle !

Je te le revaudrais un de ses quatres !

Je la suivis un sourire aux lèvres, comme un enfant qui va fait découvrir des choses à son nouvel ami.

Je vais avoir une chambre ! Pour moi seule, je me réjouissais déjà.

Depuis le temps que je dors par terre sur le sol dur. Mon dos va vieillir avant l'heure si ça continue.

ARTHEMIS 07Où les histoires vivent. Découvrez maintenant