𝗀𝗎𝗇𝗇𝖾𝗇 : 𝖿𝗂𝗇𝖽𝗂𝗇𝗀 𝗁𝖺𝗉𝗉𝗂𝗇𝖾𝗌𝗌 𝗂𝗇 𝗌𝗈𝗆𝖾𝗈𝗇𝖾 𝖾𝗅𝗌𝖾'𝗌 𝗁𝖺𝗉𝗉𝗂𝗇𝖾𝗌𝗌 𝖻𝖾𝖼𝖺𝗎𝗌𝖾 𝗍𝗁𝖺𝗍'𝗌 𝗁𝗈𝗐 𝗆𝗎𝖼𝗁 𝗒𝗈𝗎 𝗅𝗈𝗏𝖾 𝗍𝗁𝖾𝗆.
Elle était tous les jours présente à Scoops Ahoy, le glacier où Robin Buckley, s...
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𝐦𝐚𝐞𝐥𝐚𝐧𝐧𝐞 𝐦𝐨𝐨𝐧𝐲
— C'EST SI PATHÉTIQUE de venir ici, murmura-t-elle à elle-même.
Marchant pratiquement à reculons dans le cimetière, son joint coincer entre ses doigts. Une envie, une idée traversant son esprit et elle avait rouler dans Hawkins.
— Je vais pleurer, dit-elle. Je vais pleurer et j'aime pas pleurer.
S'arrêtant devant la fatidique tombe, elle resta droite et prit une nouvelle inspiration de la fin de son joint. Le nom de sa mère était écrit, sa date de naissance et celle de mort et Maelanne cligna des yeux pour ne pas les larmes couler. Elle ferma les yeux et une larme coula, elle la laissa couler, sans même bouger la main et un seul et horrible flash-back refit surface.
Maelanne se revit, debout dans la cuisine de son ancienne maison, avec sa mère à ses côtés et son père en face d'elles.
— John, s'il te plaît calme toi ! fit sa mère d'une voix tremblante. Tu me fais vraiment peur.
Maelanne recula de peur quand la bouteille d'alcool explosa au sol. Son père était bourrée, beaucoup plus que d'habitude et cette fois-ci, Maelanne ne semblait pas être la seule personne à devoir subir les conséquences.
— Non ! Non ! J'en ai marre de cette famille de merde ! Vous me soûlez tous !
Et sans aucune autre raison il sortit de l'intérieur de sa veste en jean un pistolet. Complètement paralysée, Maelanne ne put se décaler, décaler sa mère et elle regarda la balle partir. Le voir appuyer sur la gâchette et entendre le cri de sa mère résonner à travers ses oreilles. Sa mère se retrouvait à présent au sol, inanimée.
— Maman, maman ! cria Maelanne en essayant de stopper le sang.
De grosses coulaient sur ses joues et le sang continuait de couler, imprégnant ses vêtements et ceux de Maelanne. Incapable de respirer normalement, elle attrapa le téléphone fixe et réussit à appeler la police.
— À l'aide ! Mon père vient de tirer sur ma mère, s'il vous plaît faites vite !
— On va venir vite, donne moi ton adresse d'abord.
Maelanne donna son adresse, laissant ensuite le téléphone pendre en reportant son attention sur sa mère.
— Non, non, maman je suis désolé, tiens bon s'il te plaît !
Un petit sourire s'afficha sur le visage de sa mère, et Maelanne sanglota un peu plus. La sirène de la police résonna dans ses oreilles et deux mains se placèrent sur ses épaules.
