chapitre 11: la panique

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Il était rendu 8:30 quand je me suis fais réveillée par mon cadran. Fréd était déjà debout et il parlait avec une personne, Derek bien sur. Je suis aller dans la cuisine et Fréd voyant que j'avais besoin d'un café me donna une tasse bien chaude. Pour une fois j'ai décider de faire le déjeuner. Oeuf et bacon, déjeuner totalement basique. Derek voulait les oeuf miroir, le blanc de l'oeuf est cuit mais le jaune lui reste crue. Se sont mes oeufs préférer mais Fréd lui trouve sa, dégeulace. Sérieusement sa ne paraissait sûrement pas que j'avais voler beaucoup a matin.
- vous êtes allez faire quoi à matin ? A lancer Fréd
- o humm nous avons fait un petit tour de voiture dis je
- absolument c'était plutôt agréable
Nous avions l'air de gamins qui ne savait aucunement mentir, 0 crédibilité
- nous sommes parti dans la ville admirer les lumières de parking
- j'ai rendu un petit service à Derek pendant notre balade
- à oui, Fréd était juste amuser
Derek à tout simplement rentrer dans le jeu que je venais de faire en répondant
- oui disons que c'était de nature... Buccale.
Il a mi des pouces contre ses yeux et il est parti à rire. " je m'attendais pas du tout à sa je doit dire ". Nous avons vu passer plusieurs voitures de police. Ce n'était pas si impressionnant en ville, mais ici, où jamais personne ne passe.  C'était étrange. Je suis aller allumer la télévision et le poste était les nouvelles. La journaliste était devant plusieurs bâtiment en feu, des personnes qui essayer de rentrer de force, c'était la panique général mais pourquoi ? J'ai regarder Derek qui était venu à coter de moi. Nous nous sommes regarder et le fait que je pose cette question était stupide. Bien sur que je savais pourquoi, si une seul personne avait mi ce que nous avions regarder, seulement une, sa se rependerais comme une traînée de poussière. J'ai changer de poste et ça me parlait que de ça, des montre impressionnante de rage dans les hôpitaux. Des personnes qui tuer dans gens dans les avions, les bateaux et même dans les rues. Maigres les efforts des militaires au Paraguay et au pays autour les zombies détruisait tout leur plan, la quaraine, les barrages routier, rien ne fonctionnait. Le taux d'infection était de 10 000 et ne saissait pas de monter. Le pire dans tout cela c'est que tout c'est passer en moins de 6 heures. Mon ami avait finalement raison. Tout ce que nous avions il nous le fallait en plus, beaucoup plus. Tout sur quoi je m'étais éloigner me rattrapais. La guerre, le sang, les morts la souffrance et tout ce qui venait avec. Tout cela la journée après mon mariage.
- l'ancien proprio avait laisser plein de palettes de bois sur la terre non ?
J'avais pas entendu ce qu'il avait dit, juste que quelqu'un parlait.
- quoi
- il faut con barricade cette maison, et l'ancien proprietaire avait laisser plein de palette de bois et de je ne sais combien d'autre chose. Elle sont sûrement presque tous à moitier pourris mais c'est déjà mieux que rien.
Il avait raison, notre maison n'est pas contre tout les intempéries. Nous sommes donc aller les chercher. Les palettes des bois était pourris comme nous l'avions dit et les morceau de plastique pour la plupart trouer mais c'était quelque chose. Nous les avons rapporter et nous les avions clouer sur les vitres et les portes. Presque aucune lumière de l'extérieur ne rentrais. Il ne passait que par les trous laisser pour voir ce qui se passer à l'extérieur et pour tirer si jamais c'était la merde. Au dernière nouvelle tout les gouvernements était en panique, il faut rassurer la population mais quand des centaines de milier de gens meurs à chaque heure c'est plutôt compliquer à expliquer. Monsieur Legault était en onde et Il voulait rassurer au maximum les gens qui pouvais l'écouter.
- l'infection ne peux pas s'étendre jusqu'au Canada pour le moment, nos voisin États-Uniens, eux sont aussi hors de danger pour le moment mais tout porte a croire qu'il vont bientôt faire face au même problème quand Amérique du Sud. Toute les personnes de la construction doivent impérativement aller a leurs travail, leurs patron vont les apporter au extrémités du Québec pour y faire construire un mur. Cela permettra a ce que la menace ne puisse se rendre jusqu'ici. Il fa...
Un gros bruit de fi entendre et moins d'une seconde après, la moitier du visage lui avait été arrachée. Sont corps le balanca sur son bureau et nous voyions que du sang, une bonne parti de son cerveau et de l'intérieur de sa bouche. Frédérique a vomi de dégoût et c'était rendu juste à temps à la salle de bain. Une nouvelle personne à pris la parole, il avait une cagoule, il a mi la caméra beaucoup trop près de sont visage et à dit " vous n'avez plus besoin d'obéir à personnes mes amis. Nous sommes libre de nos choix. Nous sommes des survivant à présent. Nous sommes l'avenir de notre peuple." Il est parti sur ses mots. Je n'était que figer. Autant par incompréhension que par la peur. 

Le Mauvais Jour Où les histoires vivent. Découvrez maintenant