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Ça vas faire cinq mois que je n'ai pas vue Ariel, les cours ont commencé et son bien plus durs que ce que je pensais, je dors environ quatre heures par nuit. Je ne peux pas m'empêcher de penser qu'Ariel aurai put faire de grande étude, après tout ont été les premiers ex æquo du lycée. Je culpabilise d'être de moins en moins présent pour lui mais les cours me prennent un temps fou et quand j'ai du temps, bien souvent c'est lui qui est occupé. J'espère simplement que ma surprise lui ferra plaisir même si nous sommes devenue presque deux étranger l'un pour l'autre. Mise à par quelques messages par ci par là pour demander comment vas l'autre on ne parle quasiment plus. J'inspire profondément devant la porte d'entré, il ne se doute pas que je suis là, c'est veille de Noël il pense que je reste à Cambridge.

Je toque et ris silencieusement en l'entendant râler pensent que c'est du démarchage. Il l'ouvre et reste figé en me voyant comme si il n'y croyais pas. J'observe sont torse et ses bras couvert de pansements par ci par là. Je lui poserai les questions plus tard pour le moment je plonge mes yeux dans les siens en souriant timidement.

-Je peux rentrer?

-Ouais bien sûr.

Il se décale, j'entre dans le studio, Snak, torse nu aussi, se tourne vers moi en souriant.

-Little, ça faisais longtemps, affirme Snak.

-Salut, désolé je ne voulais pas déranger.

-T'inquiètes pas tu nous déranges pas, dit Ariel.

-En plus j'allais y aller, j'ai deux demoiselles qui m'attendent pour le repas.

Snak se lève et enfile simplement un sweat, Ariel le raccompagne à la porte. Je tend l'oreille pour écouter ce qu'ils disent.

-Tu ne vas pas lui dire?

-Quand se sera le bon moment pas avant.

-Il va trouver ça suspect.

-Mais non ne t'inquiète pas.

La porte se ferme, Ariel s'assoie à côté de moi en finissant son verre.

-Tu dois me dire quoi?

-C'est très délicat comme situation.

-Tu as coucher avec Snak c'est ça?

-Pardon mais no...

-Ariel, il est chez toi, vous étiez tout les deux torses nu, vous avez discuter dans le couloir, ça fais quatre mois qu'on s'est pas vue, tu vois où je veux en venir?

-T'y es pas du tout, il explose de rire. Tu penses vraiment que Snak et moi on couche ensemble?

-Les éléments laisse cette théorie apparaître.

-On est torse nue parce qu'il fais vingt degrés, c'est tout. Ensuite ce que je voulais te dire plus tard c'est que le boss m'a laisser prendre la main du gang, officiellement je veux dire.

-T'es devenu le boss du gang?

-Oui.

Je désespère, c'est foutu pour de bon il ne viendra jamais vivre avec moi.

-Je vois.

-Une dernière chose je n'ai strictement aucun repas repas pour le réveillon.

-Je m'en doutais, en venant j'ai pris des popcorns et des chips.

-J'ai des nuggets au congélateur et des frites si tu veux.

-Parfait.

Il les enfourne aussi tôt puis reviens à coter de moi.

-Bon bah c'est près dans dix minutes.

-Ça marche.

On se câline, on mange tout en parlant de mes études, ça me touche qu'il s'y intéresse autant. Je continue de lui raconter tout en retournant sur le canapé et en ouvrant le pop-corn et les chips. Viens mon tour de lui poser des questions sur le gang, il y répond en restant quand même assez vague, il ne me détaille pas ce qu'il fait et évite même le sujet en me montrant ses nouveaux tatouage dans son dos. Je vois qu'il a une réel passion pour les rose, chaque tatouage en possède une plus ou moins discrète. Je réalise soudainement que l'appartement n'est décoré que d'un petit sapin d'environ trente centimètre.

-Tu n'as pas décorer ton appartement pour Noël.

-Je fête pas Noël chez moi. Habituellement je bois un coup avec le gang et ça s'arrête là.

-Pourtant tu m'avais dis croire en Dieu et Jésus.

-J'y crois, enfin en partie, mais ça n'a rien avoir la religion, c'est juste que fête Noël seul je trouve ça nul. Je pose juste un sapin et c'est très bien.

Je sort mes cadeaux du sac et le pose dessous.

-Voila ça fais déjà mieux.

-Tu m'as pris combien de cadeau?

-Bah je pensais que tu savais compter, je ris. Je t'en ai pris six.

Il paraît gêné, il modillons sa lèvre inférieure en passant une main dans ses cheveux.

-Je t'ai pris que deux petits trucs.

-C'est pas gênant ne t'inquiètes pas.

Minuit sonne, je suis comme un enfant en attendant qu'il me donne mes cadeaux et qu'il ouvre ceux que je lui ai pris. J'ouvre le premier, une magnifique chaîne en argent se dévoile. Je la met immédiatement autour de mon cou en souriant.

-Heureusement que tu m'a dis que c'était des petits cadeaux.

-Je savais qu'elle t'irai bien.

-A toi ouvre un des miens.

Je trépigne d'impatience, il admire son nouveau casque de moto assortis à sa bécane. Il continue d'ouvrir les paquets pour découvrir une nouvelle veste en cuire et d'autre vêtements. Il ouvre enfin le dernier parquet il bug devant une dizaine de secondes puis souri perplexe sans comprendre.

-Un billets d'avions les Hampton?

-Ma famille possède un petit chalet là-bas, tu n'a jamais vue la neige, ça me semblais être une bonne idée.

-T'es sérieux?

-Oui, on décolle après demain.

Il m'embrasse délicatement puis descend dans mon cou, je gémis en agrippant ses cheveux.

-J'ai envie de jouer avec toi, susurre t'il en mordillant mon oreille.

-Je suis à votre service maître.

Bad boy t2 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant