Fear - Mort Imminente -Tome 2 -

Chapitre 7

Encore sur le chemin de la bataille. Je marche dans les rues dévastés toujours en ayant en tête que celui que j'aime, le garçon de tous mes rêves, soit maintenant mon ennemi.

Ennemi...

Il me déteste tant qu'il cherche à me nuire, à moi et à mon royaume...

Je secoue la tête, rien n'est encore si sûr. Je sais très bien que je me dis ça seulement pour me rassurer alors que je sais pertinemment qu'il doit être parti retrouvé Mélina... et ceux qui sont supposément sien...

Pourquoi y a-t-il des frontières ? Pourquoi devons-nous nous sentir différent alors que la seule vrai chose qui dérange dans nos différences est le fait que nous ne vivons pas sur la même terre.

La vengeance c'est la pire choses que l'on peut penser faire. Je sais que parfois les sentiments de colère que nous ressentons peuvent nous faire perdre la tête, mais la vengeance est le début d'un guerre sans fin.

L'un fait quelque chose que l'autre n'aime pas, veut se venger, puis l'autre veut se venger, et voilà ça continue en boucle, sans fin, sauf si l'une des personnes se dit qu'il est temps d'arrêter et qu'elle coupe le fils qui les maintiens ensemble.

***

Je marche depuis un jours complet déjà, mais ça fait des jours que je cherche Dean et j'ai beau avoir regardé partout où il aurait pu se trouvé je n'ai rien trouvé. Aucune trace de lui.

Alors que je marche, désespérer, je m'écorche sur une fleur à épine... la fleur que ma grand-mère m'a montré. Je lève les yeux pour voir devant moi et c'est là que je réalise à quel point il y en a beaucoup. Surprise et prise de panique, j'ai des sueurs froides. Il y en a de plus en plus...

Je prends une grande respiration pour me calmer, mais je ne fais que plus stresser encore.

Tout m'angoisse si fort que des larmes coulent sur mes joues sans me prévenir.

Mais ou peut bien être Dean...

Je sers les poings de plus en plus fort à force que le temps passe. Malgré mon inquiétude je continue de marché sans m'arrêter, parce que je dois trouver Dean. Absolument. Je dois le faire, peut-importe si mon corps peux le supporter ou non, ou même encore qu'il en souffre.

– Hahahaha.

Tien un rire... il...il ressemble à un rire qu'aurait un psychopathe. Après quelque seconde, je réalise qu'il y a de forte chance que ce soit un Nërflins et qu'il soit en train de torturer un Konigin. Je me met à courir dans la direction vers laquelle le rire semble venir.

J'ai si mal, à la jambe, mais je continue, parce que ma douleur doit être minime comparait à cette personne que j'entends crier, en plein agonie. Je dois sauver cette personne...

J'arrive près d'un groupe de femmes qui torture une jeune garçon avec un bâton en feu. Pas loin à côté d'eux il y a un tas de membres brulé et coupé. Ça ne doit pas faire si longtemps que c'est comme ça parce que du sang coule encore pour finir dans la flaque rouge qu'il y a sur le gazon. Par contre, il y a déjà des insectes qui commence à se promener sur la peau de ce que je crois être le corps de 4 personnes en morceau. Comment peut-on manquer autant de compassion!

C'est affreux. Horrible. Épouvantable. C'est révoltant.

Ces monstres me dégoutent.

– Attaquez-vous donc à aussi fort que vous !

Les six femmes se retourne vers moi et me regarde avec un sourire diabolique avec de se transformer en dédain.

– Vous êtes répugnantes. Vous n'êtes pas capable de vous imaginez à la place des ses enfants? Imaginez-vous lorsque vous aviez leur âge! Je ne comprends pas...