Je suis chanceuse, lorsque je fini de monter les marches je peux voir 5 silhouette qui s'apprête à descendre les marches. Je place la bouteille ouverte non loin d'eux et descends pour ne pas être trop près d'eux. Je tiens mon chandail à la hauteur de mon nez pour ne pas sentir l'odeur qui sort de la bouteille. Lorsque je vois que les 5 soldats sont au sol, je cours et ne m'arrête pas. Je traverse la forêt et j'arrive bientôt devant un village à moitié en ruine... c'était si près du château...
Si près... si près de nous... je marche dans les rues de ce village, ne sachant pas du tout quoi faire. Les maisons ne tiennent plus debout. Certaine bâtisse n'ont plus qu'un mur, alors que d'autre il ne reste plus que le sol brulé et la cendre qui le recouvre.
Les rues sont massacrées. Je continue de marcher, après avoir fait le tour du village. Il n'y reste aucun signe de vie. Pour partir encore plus loin du château je continue mon chemin, sans vraiment savoir ou je vais. Je continue de mettre un pied devant l'autre avant de remarquer que des pas sont tracer sur le sol, comme si quelqu'un avait marcher, là, pas longtemps avant moi. Je suis les traces de pas, mais j'arrive à la fin de ceux-ci. La personne ne peut quand même pas avoir disparu!
Peut-être est-ce un Nërflin... qui reviens du village qu'il a massacrer... je ne sais vraiment pas, et pour le savoir il faudrait que je trouve cette personne, ce qui est pratiquement impossible. La personne ne serais surement pas rester en place. Mais cette personne est forcément parti à gauche, que ce soit un Nërflins ou non. Si c'est un dès notre part vers la droite alors il va tout droit vers la mort. Si c'est un Nërflins il ne lui sert à rien de repartir vers son pays si la guerre n'est pas fini. Je crois qu'il s'agit plus d'un des notre parce que si c'était un Nërflin il ne serait pas seul, il y aurait donc plusieurs trace de pas.
Je soupire et me tente de tourner vers la gauche, de toute façon, je ne peux pas mourir donc il ne peut rien m'arriver. Enfin, pas du moment que quelqu'un trouve un moyen de me rendre non immortelle. Je ne crois pas que c'est sur le point d'arriver.
Il ne me sert à rien de penser à ça tout de suite.
Je marche au milieux de la forêt, mais je renfonce tout-à-coup dans ce que je crois être de la boue. J'ai les deux pieds pris et je continue dans renfoncé. J'ai bientôt les genou submerger. Mais qu'est-ce que c'est que ça! J'essaye du plus fort que je peux de me déprendre, mais je n'y arrive pas. J'avance mon corps puis le recul du mieux que je peux. Bientôt j'arrive à avancer, mais plus j'avance plus j'ai l'impression que je m'enfonce dans la boue. Je décide de continue quand même et je vois que je suis bientôt à la fin de ce lac de boue. J'arrive enfin au bout.
Ma robe et toute taché de boue. Je décide de prendre des feuilles mortes qui sont au sol pour enlever le plus de terre mouiller. Elle reste tout de même bien taché. Ne pouvant rien faire, je continue mon chemin en me demandant encore où serait passé la personne qui avait laissé des traces sur le sol plutôt. Avait-elle traversé ce lac de bouillasse? Je marche entre les arbres puisqu'aucun chemin n'est vraiment fait. Je vois au loin un autre village que je peux, par contre, à peine apercevoir celui-ci à cause du brouillard. Je marche pour me rendre jusqu'à cet cité. Dès le moment où j'arrive proche de ville je vois mes poils de bras se redresser et je sens mon cœur battre à mille à l'heure. La moitié du village a dû être toucher par des obus, car tout est brisé, sauf un côté des bâtiments.
De loin le brouillard ne me laissait voir que la partie encore intacte. Je mets mon bras devant mon nez parce que je sens une odeur chatouiller mes narines et celle-ci me fais presque vomir mes tripes. Un mélanger de chaire brulé et de bâtiments brulé de repends dans l'aire. Je m'avance dans le village et ce que je vois me dégoute. Comment peut-on manquer autant d'humanité! Comment peut-on manquer de compatie! Deux enfant et une femmes enceinte sont devant moi, le visage brulé, les yeux manquant puis pratiquement toute la peau n'est plus qu'un fine couche. Ils sont brulés au troisième degré et ça me fend le cœur.
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Fear - Mort Imminente -Tome 2 -
ParanormalUne vengeance. Un besoin de pouvoir. Une paie effacer comme on efface le plombs de crayon. Une guerre... du sang... des morts... Un vieux conflit réveiller par la haine. La moitié de notre Royaume n'est plus que cendre. Nous nous combattons tous les...