Fear - Mort Imminente -Tome 2 -

Chapitre 1

Depuis le premier village embraser, les Nërflins on continuer de s'attaquer à nous. Mon père est parti se battre avec des soldats... et moi je suis là à rien faire dans le château. Tous ce que je peux faire c'est regarder les nouvelles. Tous ce que je vois ne semble pas être bien positif. Les images qui apparaissent me donne la chair de poule tellement c'est effrayant et horrible. Depuis le premier village, il y en a deux autres qui ont suivis... et j'espère que ce sera la fin rapidement... Des obus lancer... peut-être qu'il y a des enfants toucher par les obus... juste y penser ça me brise le cœur.

Ce soir, je suis assis dans la place centrale, ou j'ai installé un télévision et j'écoute les nouvelles avec tous les employer, sauf les gardiens et soldat qui surveille tous le tour du château. Comme si je ne pouvais pas me protéger moi-même...

Je me demande vraiment comment serons le nouvelle ce soir... J'espère pour le mieux, mais je n'ose pas trop croire qu'il y aura du positif. Je ne veux pas être déçu. Mais j'en reviens pas! Pourquoi moi je dois rester enfermé ici alors que je pourrais très bien sauver des vies! Je suis sûr que je me bat beaucoup mieux que bien des soldat et je suis IMMORTELLE! Qu'est-ce que mon père ne comprends pas de ce mot? C'est pourtant si simple non?

Je soupire et gigotte sur le sofa parce que c'est long avant que les infos sois là...

Je suis enfermé dans le château, depuis que ça la commencer... je m'ennuie moi... et ceux qui perdre la vie en combattant...

La décision de mon père est absurde. Complètement ridicule et illogique. Ses hommes perde la vie alors que moi, si j'étais sur le combat je pourrais très bien les protéger et leur sauver la vie. Si au moins je pouvais sauver les villageois. Je me tourne les pouces, me lève deux trois fois, tourne en rond et retourne m'assoir. J'ai peur d'apprendre encore plus de mauvaise nouvelle.

Je ressens des sentiment que je n'ai jamais ressentis au paravent. Le genre de sentiment d'inconfort constant, et le sentiment d'impuissance.

– Meggen, dit alors l'un des soldats qui rentre dans la grande salle, voici une lettre de votre père.

Je me lève et cours pour aller la chercher. Allait-il me laisser l'aider? Le soldat que je préfère entre tous les soldats me tend l'enveloppe.

– Merci.

Il me sourit et retourne à son poste, l'entré. Son sourire me fait penser à celui de Dean. Il me manque, mais ce n'est pas ce sentiment qui est le plus important pour le moment. Tant que lui et les autres sont en sécurité c'est ce qui compte. Chaque soir je pris, bien que je ne suis pas vraiment religieuse, mais je sais que les anges existe alors pourquoi pas Dieu. Autant le faire si ça peut les protéger. J'arrive rarement à m'endormir. Je pense à mes amis, et tous les personnes qui sont blesser ou même qui perde leur maison... tous ce qu'ils ont... Je déteste tellement ne rien pouvoir faire pour eux.

J'ouvre la lettre et commence à la lire.

Meggen,

Je ne peux pas t'écrire plus. Cette lettre est la dernière que je peux t'envoyer. Les Nërflins sont de plus en plus nombreux et nous perdront beaucoup trop de soldat. Je dois toujours être actif, mais je te promet que nous allons sortir de cet enfer. N'essaye pas de t'enfuir du château, c'est l'endroit ou tu es le plus en sécurité.

Je t'aime, ma très chère fille. Tu me manque.

Rien d'autre... pas plus de détail, pas besoin de mon aide... il me dit même de rester au château. Je soupire une nouvelle fois.

J'entends la voix de la journaliste et je me tourne tout de suite vers la télé, pour ne rien manquer de ce qu'elle va dire.

– Les nouvelles que nous avons ne sont pas du tout charmante. Des enfants ont été bruler par les obus, des familles torturé de façon horrible. Une forêt entière a été bruler.