Mon passé

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Dans cette petite pièce de 20 mètres carré, absolument sombre et coupé de tout contact avec l'extérieur, se trouvait un corps. 

Ce corps inerte et endormi, emplissait la pièce d'une odeur tragique et aimante à la fois. Portant dans tout l'appartement, elle n'épargnait pas un coin.

Ce corps était celui d'une femme ayant un âge déjà bien avancé. Ses cheveux était gris et court, un peu ébouriffé sur un côté, il donnait l'image d'une personne faisant un beau rêve très profond. Son visage reflétait une paisibilité déconcertante. Elle laissait un message sur ses lèvres, un message d'amour et de tendresse. 

Le calme qui l'entour pourrai en apaiser plus d'un, hélas, bien que cette personne semble heureuse, le cadre dans lequel elle se trouve ne la met pas à son avantage. Et cela décourage de nombreuses personne bien attentionné et entraine les mal attentionné à commettre des crimes d'atteinte à la pudeur et à l'intégrité. 

Cette pauvre vielle dame avait été souiller, en prenant du recule, le chez soi qu'elle avait dû connaitre ne devait plus être celui-là. 

Cette pauvre vielle dame ! Elle était là, étalé sur le sol, en décomposition, dans un appartement pillé par les voleurs et les malfrats. 

Cette pauvre tante Yen, reposait là, sans sépulture et tout près d'elle, presque sans vie, se laissant vider de toute force, reposait Xiao Zhan. 

Ce pauvre Zhan, dans un incapacité absolu de bouger, refusant de quitter sa parente, se laissant mourir auprès d'elle. 

Commençant à s'adapter à cet atmosphère nauséabond, il ne bougeait pas. Ses yeux avaient perdu toute lueur de vie et d'espoir. Dans cette appartement obscure, délabré, insalubre et comportant un corps en décomposition depuis près de deux mois, Zhan vivait sans s'accrocher à la vie. 

Cependant, tout ce temps lui permit de prendre du recule sur sa vie passé, il ne pouvait plus faire marche arrière, sa vie n'aurait plus aucun sens. Rien ne serait jamais comme avant. Il lui fallait évoluer, changer, s'adapter à ce qu'il pourrait appeler "futur". 

L'appartement de sa tante se trouvait dans une zone désaffecté de Chongqing, ici les gens vivaient dans la misère, au jour le jour, ils ne savaient pas de quoi était fait demain. Beaucoup y vivait pour fuir, à cause de faible moyen, à cause d'une situation délicate. Il s'y trouve aussi des gang, des délinquants, des pauvres gens, cette zone est comme une poubelle et un endroit où la police ne va jamais pour ces nombreuses causes. 

Dans ce quartier, le plus fort règne, la loi, la justice n'existe pas. Le plus fort à raison, le plus fort est prioritaire, le plus fort est le vainqueur. 

Dans ce quartier, le plus faible survit, la loi, la justice ne les aidera jamais. Le plus faible à toujours tord, le plus faible est toujours le dernier, le plus faible est toujours le perdant. 

Et rien ne pourra changer cela, puisque rien ni personne ne peut changer cette calomnie humaine. Cette pauvre théorie et ces principes tanguant au moindre échec. 

Cette endroit est un échec !

Personne ne veut de cet échec, car il représente la faiblesse humaine et le malheur. 

Ici, pas d'opinion et pas de sens critique. Tout va dans une direction, celle du plus riche, du plus dangereux, du plus fort et du plus craint. 

Un soir, en automne, le vent soufflait fort et froid. Peux de gens circulait dans la "rue", le soleil était déjà en train de se coucher. 

Zhan vivait ici de puis plus de six mois, sa réputation était faite ! Personne ne l'approchait lui et sa porte, il portait sur lui l'odeur de la mort. Même les plus dangereux ne le dérangeaient pas. 

𝐅𝐄𝐀𝐑 ʸⁱᶻʰᵃⁿOù les histoires vivent. Découvrez maintenant