Les indices de mon ennemis

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Les deux vieux hommes firent donc appels aux organisateurs de la soirée et les incitèrent à mettre fin aux festivités. A cause de la présence de personnes extérieures au monde de la nuit, James voulait éviter que ce qui venait de se produire s'ébruite dans les rues de Milan ou encore dans les autres familles et rivaux des alentours.

Bowen, qui se tenait à présent à l'écart, fit signe à Xiao Zhan que tout s'était déroulé selon ses plans. Ce dernier avait enfin pu présenter au monde l'atrocité de la famille de Shenzhen mais aussi et surtout de la mafia.

Les hommes de main des deux familles évacuèrent les lieux. James et le vieux Xiu se mirent à donner l'ordre de déplacer des invités spéciaux vers d'autres lieux. Les autres personnes étaient évacué de la propriété. De faux policiers arrivèrent sur les lieux pour camoufler ce qui venait de se passer. Enfin, quand nous parlons de faux policier il faut bien entendre qu'il s'agit en fait de fonctionnaire soudoyés.

Suivant le mouvement de la foule, le bras droit quitta alors la grande court où beaucoup d'invité se dirigeait pour quitter la soirée, pour se diriger vers le petit salon qui se trouvait à l'autre bout du jardin.

Son secrétaire le suivait de près. Les deux hommes partaient en direction du petit salon où, plutôt, Bowen avait fait cacher les corps des hommes inconscients. La porte s'ouvrir avant même que le bras droit n'ait pu poser le pied sur les escaliers du pavillon bleu. Les lumières étaient éteints, le cabinet était à présent assombri par la nuit tombé.

Il prit place sur le grand fauteuil Louis XVI, bleu ciel, brodé d'oiseaux et de nuages. Un homme cagoulé place alors devant lui, sur la table basse, une grosse valise blindé. Il l'ouvrit et la tourna vers lui d'un geste précis. Dans la mallette se trouvait un ordinateur un peu spécifique. De par sa constitution renforcé et son progrès numérique, il permettait d'effectuer des prouesses technologique quelque soit le lieu.

Il semblait pianoter simplement dessus pendant deux minutes. Pendant ce temps, une dizaine d'homme s'était assemblé tout autour de lui, armé et camouflé en noir. Le bras droit continuait d'écrire pendant que Bowen allait jeter un œil aux hommes qui avaient été évacué plutôt.

Xiao Zhan, une fois fini, prit alors une grand inspiration. Il releva les yeux vers les trois hommes qui le regardaient déjà.

- Messieurs, il va être temps de se débarrasser de certains éléments perturbateurs. Vous savez ce que vous avez à faire. Dit il en s'appuyant sur le dossier du fauteuil.

Il ne leur laissa pas le temps de partir et repris:

- ce soir, nous allons dévoiler au monde et au gouvernement chinois toutes les horreurs et la corruption de notre pays.

Sa voix était forte et prononcé d'un ton de colère.

- Toutes ces choses impardonnable qui ont eu lieux, sous nos yeux et pour lequelles les autorités n'ont aucunement agit. Nous allons venger nos frères, nos sœurs, nos familles et toutes les personnes qui, de près ou de loins, ont eu à souffrir a cause de leur actions.

Il se leva de son siège et fit le tour de la table tout en fixant les hommes qui l'écoutait.

- certaines choses ont besoin d'être clair avant que nous ne puissions faire nos révélations. Je ne serais pas contre votre volonté d'abandonner maintenant. Je peux comprendre que cela puisse vous effrayer. Mais je tiens seulement à vous rappeler que si personne ne le fait, rien ne changera jamais.

Il fit un tour sur lui même, regardant dans les yeux, les uns après les autres, les 11 hommes qui se trouvaient dans le salon.

Un silence s'installa, personne ne parlait ni ne bougeait. Xiao Zhan prit cela comme réponse. II leur offrir alors son plus beau sourire.

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 27 ⏰

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