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« Passe par la douleur, pour découvrir
Le bonheur.»

PDV : Gallia.   

-Je me suis déjà excuser ! Lui dis-je.

-Tu n'es pas sincère, donc recommence !

-Ah parce que je devrais m'excuser sincèrement ?! Manquer plus que ça ! Tu peux toujours aller te faire foutre Cabrón !

Depuis qu'on est rentrée il ne fait que réclamer des excuses sincères, et il m'a attaché.
Andrew et Benson, eux ne se gêne pas pour montrer leur amusement.

-Comprenez le mademoiselle, vous avez bousillé une voiture qui coûter très chère.
Me dit Benson, voulant me faire comprendre que je devrais m'excuser.

Je suis attaché à une putain de chaise alors il est hors de question que je m'excuse.

-Excuse toi, et je te libère. Me dit le cafard de son sourire narquois.

-Cabrón, je suis bien contente que t'as voiture soit maintenant dans un fossé et le devant complètement défoncer par un arbre, mes excuses ne serons jamais sincère ! Lui dis je à deux doigts de lui cracher au visage, et le sourire vainqueur sur mon visage.

Lui par contre le sourire qui était présent sur son visage il y a moins d'une minute vient de s'effacer en une fraction de seconde.
Andrew voyant que la tension devient palpable, décide d'intervenir.

-BON ! Gallia s'excuse pour se petit accident ! Dit il en me prenant par les épaules et colle presque sa tête à la mienne et se baissant un peu, vu que je suis toujours attacher à une chaise !

-Depuis quand vous êtes si proche vous deux ? Oscar affiche une mine sérieuse, limite on dirait qu'il est en colère.

Moi et Andrew nous regardons dans les yeux, un peu dans l'incompréhension de cette petite mine sérieuse sur le visage du cafard.

-Oscar, voyons, nous savons tous ici que j'aime particulièrement les brunes au yeux Hazel et qui en plus adore fuir, pas toi ? Andrew provoque Oscar délibérément et je ne comprend pas vraiment le but de tout ça, mais ça me fais marrer de voir que son bras droit aime bien une « ennemie » enfin plus la prisonnière qu'autre choses et que Oscar réagit comme si cela était une trahison.

Benson, entre temps m'a libéré de cette chaise mais cela n'échappe pas au regard du cafard.

-Je ne t'ai pas donné la permission de partir il me semble ?

-Il me semble même ne pas t'avoir demandé. Lui dis-je répondant à son ton arrogant.

Puis je pars en direction de la chambre qui m'est attitré depuis que je suis arrivé.
Je monte les escaliers.

-Gallia, reviens ici ! Me dit il en haussant le ton, mais pas avec moi Cabrón, tu vas vite déjanté.

Au moment où j'arrive à ma porte de chambre, je l'ouvre et me retrouve à nouveau dans cette pièce chic.

Puis la porte derrière moi ce claque, et cela me fais sursauter je l'avoue, je me retourne et aperçoit Oscar dans ma chambre avec un regard que je ne connais pas encore.
Nous sommes seuls dans la pièce et je prie pour qu'il ne tente rien.

-Je pense pas m'être fais comprendre Gallia. Me dit il d'un ton à glacer le sang.

-Tes lunatique ? Lui dis-je l'interrompant dans son élan, ne comprenant pas vraiment ses expressions qui changent aussi vite que ses humeurs.

Il se fige nette, comme si il était perturbé par ma question.

-J'ai agis avec toi un peu trop gentiment, je pense que tu te laisse aller avec la provocation du coup, mais Gallia tu n'es pas là par charité, alors ne fais pas comme si il ne pouvait rien t'arriver.

FUGITIVE IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant