8- Un pas en avant,dix pas en arrière

2K 80 49
                                    


-Comment as tu osé Isia !

Papa je...je ne voulais pas !

-Mais C'est trop tard Isia !! Tu as gâcher nos vies !

Mais...je n'ai rien fait papa...Maman je t'en prie dit quelque chose !??

-Je vais te punir Isia pour ce que tu as fais !

Non...non..Je t'en prie !!!!!


-He ! réveille toi !

Je me réveille brusquement, je suis essoufflée.
Je le vois m'observer comme si j'étais folle.

« Tu es vraiment immonde Isia, même lui te vois déjà comme un monstre !»
Sûrement....

-On est arrivé sort de la voiture. M'ordonne t'il

Je descends, et me revoilà prise au piège.

Benson se rapproche de nous à une allure presque trop calme à mon goût pour voire la personne qui l'a menacée.

-Mademoiselle, ravie de vous revoir permis nous ! Me sourit il avec hypocrisie.

Je lui ai souris avec autant d'hypocrisie que lui.
Puis un long silence nous envahirent tous jusqu'à que M.protecteur 2.0 ouvre sa bouche, certainement pour dire de la merde.

-Benson est un assassin confirmé, la prochaine fois que tu le menace, je l' autoriserai à te tuer sur le champ.

Je déglutis, alors la seule raison pour que Benson ne m'est pas tuer, c'est qu'il n'avait pas l'autorisation ?!

Eh bah putain je me suis mis dans une sombre merde...

- Je vais vous emmener au sous sol. dit Benson pour me dire de rentrée et que j'allai reprendre ma place du début.

-Non. Rétorqua Oscar.

- Non ? Se questionne Benson.

Même moi je ne comprend pas très bien pourquoi ce mot est-il sortie de sa bouche, et je m'autorise d'espérer que c'est peut être le début de ma liberté et la sortie de ce chaos

- Emmène la, dans ma chambre ! Elle séjournera la bas tant que je jugerai qu'elle n'est pas une bonne fille.
Détourne t'il légèrement la tête en ma direction avec un regard et un sourire malicieux.

- Bah enfaîte, la cave m'a l'air plutôt spacieuse et confortable, il n'y a pas de cafard au moins.
Balançai-je d'un air catégorique.

- penses-tu sincèrement qu'il y est des cafards ? Me dit il étonné.

Il n'a pas compris.

- Cabrón, c'est toi le cafard ! Fais-je remarquer.

Ce qui me vaut un petit rire maladroit de Benson.

Par contre j'en connais un qui n'a pas l'air d'avoir aimer ma petite vanne, qui n'en n'ai pas vraiment une.
Encore ce regard noire,à faire pâlir les morts.
Il s'approche de plus en plus de moi et colle presque sa bouche jusqu'au creux de mon oreille.

-Très drôle trésor, mais je ne pense pas que tu trouveras le moyen de sortir tes petites blagues lorsque se soir je serais entrain de te défoncer pour que tu la ferme. Murmure t'il pour que je sois là seule à entendre.

FUGITIVE IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant