Maël et Camille

6 2 0
                                    

Salut ! Je suis désolé d'avance pour les fautes d'orthographe ! Je fais de mon mieux pour ne pas en faire. J'espère que mon histoire va vous plaire et si vous avez des conseils je suis partant ! bonne lecture ! :)

« Garde mon pull avec toi », c'était ses dernier mots avant que le train ne ferme ses portes pour les séparer l'un de l'autre. Il s'en souviens encore ? Maël s'en souviens comme si c'était hier, il pleuvait ce jour là et Sacha sentait la vanille, c'est l'odeur qu'il avait quand il était allé voir sa grand-mère. Ils avaient passés la journée assis dans l'herbe sous cette arbre trop grand pour qu'ils puissent y grimper, à refaire le monde avec des idées plus stupide les unes que les autres. Maël se souviens parfaitement de cette conversations ; son ami riait à cause du pigeon qui n'arrivait pas à s'envoler avec son bout de pain tandis qu'il l'observait avec attention pour ne pas oublier un seul traits de ton visage .

« -Le temps est infinis à t'es côté ». A cette époque il ne pensais pas que cette simple phrase prononcé par son meilleur ami allait autant le toucher. Il pensait que ce moment aurait été toujours présent... le blond était parti loin de Maël et maintenant il se retrouva seul avec comme seul souvenir une photo de cette journée et un vieux pull.

Il se réveilla en sursaut, encore ce rêve, il se leva de son lit. Sa chambre était toujours plongée dans l'obscurité, le lit au milieu de la pièce, une table de chevet à gauche et une armoire à droite. Il n'avait jamais songer la décorer. Il ouvrit la fenêtre, toujours cette vue qui ne lui plaisait gère, rien ne change. Ah si ! Peut-être Louise, la fleuriste en face de son immeuble qui ne manque jamais de faire la conversation avec lui tout les matins. Il se dépêcha de descendre les escaliers et en sortant, Louise lui fit signe.

« -Comment va tu mon petit ? Dit t'elle avec un sourire toujours aussi radieux.
-Bien et vous ?

-J'ai un peu mal au dos mais je vais bien, et arrête de me vouvoyer mon garçons ! »

C'était une femme très gentille, tout le quartier l'appréciait pour sa bienveillance et sa remarquable cuisine. Un jour elle lui avait raconté que de grands chefs avait était plusieurs fois devant elle pour lui demander de venir travailler pour eux. Elle avait toujours refusée pour ne pas abandonner son rêve de fleuriste.

Arriver au café, l'ennui ce faisait ressentir. Il n'y avait pas presque personne. L'endroit était idéal pour Maël, il n'aimait pas les Humains mais dans ce travaille, il ne croisait que des personnes âgées. Il vit Camille, elle le salut de loin, trop occupée à parler à ce grand-père qui venait tout les jours.

Il prit un crayon et une feuille et commença à dessiner comme à son attitude. Camille se rapprocha de lui, un grand sourire au lèvres.
« -Tu ne remarque rien ? Elle pencha la tête pour qu'il puisse relever la sienne.

-Tu as refais t'es tresses et tu... Il l'examina encore un peu avant de soupirer. Ton chien a encore fait un trou dans ton pantalon. Elle le regarda exaspéré et cachas le trou avec son tablier.
-C'était mon nouveau piercing au nez qu'il fallait remarquer.

-Tu ressemble à une vache avec ton septum. Il émit un rictus.

Camille s'accouda au bar à ses côté. Il haussa les épaules quand il la vit contrarier.

La porte du café s'ouvrit, une odeur de vanille engloba tout l'espace. Une femme élégante au cheveux rouge s'approcha de Maël, il leva la tête et la regarda interrogé quand son regard se posa sur lui l'air étonné ou surpris.

« -???C'est toi ?

-Vous devez vous tromper de personne. Que voulez-vous boire ?

-Tu ne te rappel pas de moi ? Marie !

-Je... Je me souviens. »

Marie était une fille joviales et adorait être entouré de personnes. Il l'écouta parlé de sa vie en attendant quelle n'est plus assez de salive pour pouvoir partir loin d'ici.

« - Au fait j'organise une soirée chez moi se soir, ça te dit de venir ? En plus toute notre ancienne bande de potes seront là !

-Maël viendra avec plaisir !

-Cool ! On se voit se soir, je t'envoie les détails par messages. »

Elle prit son café, déposa un bout de papier contenant son numéros sur le comptoir et reparti en se dandinant comme une petite fille.

Camille le regarda en souriant, ses yeux marron se posèrent sur ceux de Maël, il comprit très vite que pour Camille c'était le seul moyens que le passé fasse moins mal pour moi et que je puisse avoir enfin des relations saine avec quelqu'un. Il détourna le regards et fit légèrement monter et descendre sa tête pour acquiescer à sa décision.  

Souviens toiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant